Une fonction très simple et très appréciée du Lecteur DVD de Mac OS X est de pouvoir lire directement un DVD rippé sur disque dur. Bien que l’on songe immanquablement au piratage, la copie de DVD apporte aussi un intérêt au possesseur d’un original, comme par exemple d’économiser la batterie d’un MacBook ou d’un PowerBook en voyage. Ceci est encore plus vrai avec le MacBook Air qui n’a pas de lecteur intégré.
Jusqu’à Tiger, l’application Lecteur DVD d’Apple remplissait parfaitement son rôle, même si quelques utilisateurs reprochaient de légers bugs. Il suffisait de faire «Ouvrir le support» et de choisir le dossier VIDEO_TS.
C’est depuis Léopard que les choses se sont dégradées, et de très nombreuses personnes se plaignent de l’apparition fréquente du message «Une erreur s’est produite à l’ouverture du support. Le type de support n’est pas pris en charge». Ceci particulièrement dans le cas d’une lecture d’un DVD copié sur le disque dur.
Après de nombreuses recherches et de nombreux essais infructueux (certains recommandent par exemple de nettoyer les polices avec Linotype FontExplorer X), j’ai réussi très simplement à refaire fonctionner l’application sur mon Mac Intel en la basculant sous Rosetta. Il y a donc un bug dans la partie Intel de l’application, tout bêtement.
Il suffit de faire «Lire les informations» sur l’icône du Lecteur DVD, et de cocher «Ouvrir avec Rosetta». Si vous rencontrez un ralentissement sur la lecture de vrais DVD, pensez à décocher cette option, et à ne la cocher que lors de l’ouverture d’un disque rippé.
On sait depuis longtemps que la Xbox 360 contient un processeur IBM de la famille des Power PC (le Xenon), comme les ordinateurs Apple de 1994 à 2005. On sait aussi que les premiers kits de développement fournis par Microsoft étaient des PowerMac G5. On sait encore que la console reconnaît un iPod branché sur un port USB en façade. On sait enfin qu’elle permet de lire des fichiers Quicktime h264 sur une clé USB.
La dernière version de Mac OS a introduit une fonction tellement évidente que l’on se demande encore comment nous avons pu nous en passer, et pourquoi il a fallu attendre 2007 pour qu’elle apparaisse dans un système d’exploitation. Comme le dit Apple à juste titre sur son site, «Opening files is so 2006…».

Son auteur, un suédois décédé après avoir remis les manuscrits à son éditeur, était visiblement un véritable fan d’Apple. En plus d’être très agréables à lire, les 1900 pages des trois romans sont truffées de références aux ordinateurs Apple de l’époque (2002-2004).
[EDIT] Une nouvelle version de cet article concerne Snow Leopard, 

Le principal problème des passionnés, que ce soit de Mac, de High Tech, de littérature, ou même de tour Eiffel en allumettes, est toujours le manque de temps. Entre le travail, la vie familiale, les amis et le sommeil, il ne reste plus grand chose pour s’adonner à ses passions.
Autrefois signe distinctif, le casque blanc avec liseré gris est devenu tellement courant qu’il ne suffit plus à distinguer le Geek Apple. A l’inverse, la presse informatique ayant quasiment disparue, on ne peut plus compter sur un SVM Mac ou un Univers Mac. Il faut donc se rabattre sur de nouveaux moyens d’investigation, mais ils sont malheureusement limités. Le fan se cache, se fond dans la foule !
Assez efficace aussi, mais uniquement au printemps et en été, l’étude des tee-shirts permet de repérer le fan. Il ne porte pas une pomme, ce serait trop simple, mais des logos plus discrets, comme le 

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