La dernière version de Mac OS a introduit une fonction tellement évidente que l’on se demande encore comment nous avons pu nous en passer, et pourquoi il a fallu attendre 2007 pour qu’elle apparaisse dans un système d’exploitation. Comme le dit Apple à juste titre sur son site, «Opening files is so 2006…».
Quick Look permet donc de visualiser immédiatement le contenu d’un fichier, directement depuis le finder, et sans lancer l’application qui l’a créé. Un simple appui sur la barre espace fait apparaître une fenêtre transparente avec le contenu du document, dans lequel on peut même naviguer pour lire toutes les pages…
D’origine compatible avec de nombreux formats d’images (jpeg, gif, png…), de sons (aiff, wav, midi, mp3…), de vidéos (quicktime, mpeg…), et de documents bureautique (word, excel, powerpoint, keynote, pdf…), Quick Look s’ouvre régulièrement à de nouveaux fichiers par l’ajout d’extensions.
Deux sites recensent les plugins disponibles : QuickLook Plugins List et QL Plugins.
Vous y trouverez du très connu (afficher le contenu d’un dossier avec Folder.qlgenerator, d’une archive avec Archive.qlgenerator ou BetterZip Quick Look Generator), mais aussi du franchement surprenant avec la prise en compte des formats d’images ZX Spectrum ou Commodore 64 !
Pour que Quick Look prenne en compte l’ajout d’un plugin dans le dossier /Library/QuickLook/, vous pouvez soit re-démarrer le système, soit fermer et rouvrir la session, soit plus simplement taper «qlmanage -r» dans le terminal.


Son auteur, un suédois décédé après avoir remis les manuscrits à son éditeur, était visiblement un véritable fan d’Apple. En plus d’être très agréables à lire, les 1900 pages des trois romans sont truffées de références aux ordinateurs Apple de l’époque (2002-2004).
[EDIT] Une nouvelle version de cet article concerne Snow Leopard, 

Le principal problème des passionnés, que ce soit de Mac, de High Tech, de littérature, ou même de tour Eiffel en allumettes, est toujours le manque de temps. Entre le travail, la vie familiale, les amis et le sommeil, il ne reste plus grand chose pour s’adonner à ses passions.
Autrefois signe distinctif, le casque blanc avec liseré gris est devenu tellement courant qu’il ne suffit plus à distinguer le Geek Apple. A l’inverse, la presse informatique ayant quasiment disparue, on ne peut plus compter sur un SVM Mac ou un Univers Mac. Il faut donc se rabattre sur de nouveaux moyens d’investigation, mais ils sont malheureusement limités. Le fan se cache, se fond dans la foule !
Assez efficace aussi, mais uniquement au printemps et en été, l’étude des tee-shirts permet de repérer le fan. Il ne porte pas une pomme, ce serait trop simple, mais des logos plus discrets, comme le 






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