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Beurk 4 – Mate de Coca

30 janvier 20222 commentaires

Les articles «Beurk» présentent des découvertes gustatives étranges, des expériences bizarres, pas forcément mauvaises ni extrêmes, mais en tous cas originales.

Cela faisait pas mal de temps que je voulais relancer la série des «Beurk», plus de six ans après le Beurk 3 – Coca Cola «Tastes of the World». Si vous avez suivi les récents articles de ce blog, les mosaïques d’Invader sont le thème dominant du moment. Son invasion de Potosi en Bolovie est surveillée par tous les fans, ses stories Instagram scrutées, et quand il parle de son mal de l’altitude à 4000m et de ses infusions au Mate de Coca, on se demande bien ce que ça peut être…

Un copain flasheur, Vicente, a pu satisfaire ma curiosité et j’ai pu goûter à cette infusion de feuilles de coca typique de Bolivie, Colombie ou Pérou. Ce n’est pas avec mon altitude extrême actuelle (40 mètres d’après l’iPhone), ni pour la concentration de cocaïne, mais pour le plaisir de la découverte. Et c’est plutôt bon, très légèrement amère.

Allez, maintenant je suis prêt pour flasher tout Potosi.



Crédits Photos : © Sébastien Mougey

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Geek – How it started, How it’s going

11 juillet 20212 commentaires

Le codeur et le geek de 2021 ne ressemblent plus à celui de 1981…

La minifig du vieux programmeur vient de la série 7 de 2012. Celle du développeur Unity vient d’un concours organisé par Lego et Unity (merci Cyril pour le prêt). Elle a même deux têtes et deux coiffures, car il y aussi des filles qui développent.

Crédits Photos : © Sébastien Mougey

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Festival du court métrage de Clermont-Ferrand

9 février 2020Laisser un commentaire

Première expérience d’un festival international de courts métrages, entre le superbe et l’incompréhensible.

Si je suis un adepte des festivals musicaux depuis des années (pour ne pas dire des décennies), je n’ai que rarement pu assister à des festivals cinématographiques. Mes lointaines expériences étaient les festivals de films fantastiques d’Avoriaz et du Grand Rex, au siècle dernier. Par curiosité et par chance, avec des copains qui habitent Clermont-Ferrand, nous avons pu nous plonger dans trois sessions le temps d’un week-end.

Ce festival de courts métrages est le plus important au monde, et le second festival de cinéma français après Cannes. Il rassemble plusieurs centaines de films (dont 54 pour la sélection française et 80 à l’international pour cette édition), et 165.000 entrées l’année dernière. L’ambiance dans la ville est joyeuse, des milliers de festivaliers se promènent dans les rues, leurs badges d’accès autour du cou, sous le soleil de février. On entend un peu toutes les langues et des queues se forment dans les rues, devant les différentes salles de projection.

Nous assistons aux sessions internationales I1 et I5 et à la française F3, pour un total de 14 films. La différence de niveau est assez étonnante et les courts métrages internationaux sont globalement meilleurs que les français, ils ont sans doute dû passer plus de sélections avant d’arriver à ce festival. Une session de cinq films de suite permet d’avoir cinq fois plus de chance de tomber sur des petites merveilles, mais aussi de risquer d’avoir des réalisations barrées et incompréhensibles. Et dans certains cas, nous nous sommes retrouvés lors du générique de fin dans un état de profonde perplexité, à douter de la santé mentale du réalisateur, ou de la nôtre ! La palme de l’étrange revenant à une animation sous acides ukrainienne et un film sur des chasseurs Grecs où il ne se passe rien pendant vingt minutes. Ce dernier a étrangement remporté le prix spécial du jury.

Les grandes réussites de nos trois séances sont un film néo-zélandais Daniel et un film d’animation français, Mémorable, qui a d’ailleurs remporté deux prix. On peut y ajouter Matriochkas, The Manila Lover, Je finirai en prison et Oslo.

Et entre deux sessions, de nombreux Space Invaders recouvrent les murs de la ville et permettent de belles balades Street Art, dont le sublime Gainsbourg.

Vous trouverez plus d’infos sur le site du festival.

Liste des courts métrages :
I1 : Lefty / Righty (USA), Matriochkas (Belgique), Girl in the Hallway (Canada), Tradition (Allemagne), The Manila Lover (Norvège/Philippines).
I5 : Daniel (Nouvelle Zélande), Oslo (Israël), Kohannia (Ukraine), All the Fires the Fire (Grèce), Je finirai en prison (Canada).
F3 : Disciplinaires, Massacre, Mémorable, Mars Colony

Crédits Photos : © Sébastien Mougey

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The Centrifuge Brain Project, les manèges de l’extrême

1 janvier 2020Laisser un commentaire

Pour le premier article de 2020, retour sur les étranges manèges de l’Institut de recherche centrifuge.

En entrant dans l’exposition Art Robotique de la Cité des Sciences en 2014, les visiteurs se retrouvaient face à d’immenses plans de manèges un peu fous. Plusieurs écrans projetaient des vidéos de ces manèges en activités et l’on pouvait passer devant sans trop se poser de question.

Mais si l’on s’attardait un peu, la curiosité l’emportant, leur violence extrême, la durée des attractions en dizaines d’heures et les incompatibilités avec la gravité terrestre commençaient à faire douter le spectateur. Le Dr Nick Laslowicz, chercheur de l’Institut de recherche centrifuge basé en Floride expliquait pourtant de manière très sérieuse l’impact sur le cerveau d’un manège ou la simulation prénatale du «Dandelion».

Tout était finalement un superbe faux documentaire créé par Till Nowak, un artiste et réalisateur Allemand ! Si vous ne l’avez pas encore vu, laissez-vous captiver et embarquez dans ces manèges impossibles.


Version sous titrée

Crédits Photos : © Till Nowak

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Obey x Invader

4 mai 2019Laisser un commentaire

Quand les street artists Invader et Shepard Fairey collaborent pour une collection de vêtements, il faut s’attendre à un combat acharné pour s’en procurer un.

J’assume toujours autant ma multimonomaniaquerie, et comme vous avez peut-être pu le lire dans l’article sur FlashInvaders, je suis évidemment accro aux mosaïques Space Invader. En tout bon fan, il était impossible de résister à la collaboration entre Invader et un autre street artist, Shepard Fairey, via sa marque Obey.

Une collection de tee-shirt en série limitée a été créée et mise en vente le 4 avril dans la boutique parisienne. Une heure avant l’ouverture, il y avait déjà plusieurs centaines de personnes dans la rue, comme on peut le voir sur cette vidéo instagram. Une partie des fans venait pour les affiches numérotées en plus des vêtements, ce n’était pas mon cas et j’ai préféré attendre la vente en ligne du lendemain.

Prêt à 9h50, équipé comme pour les ventes de places de concert ou de festivals avec plusieurs navigateurs internet ouverts et plusieurs onglets, mon compte créé sur le site Obey, ma carte bleue en main, je n’avais plus qu’à attendre 10h00. Et forcément, gros rush à l’heure pile et tout a été vendu en moins de deux minutes. Commande passée, confirmation reçue, plus qu’à croiser les doigts. Dans l’après-midi, deux copains me disent que leur commande a été annulée par la marque, je commence à stresser. Mais par chance la mienne est validée et je reçois le tee-shirt une semaine plus tard. Avec l’inobjectivité du fan, il est beau, très beau !

C’est la mosaïque LA_056 qui est représentée sur le tee-shirt, avec le petit détail parfait des deux carreaux manquants en haut à droite, comme à l’époque où elle existait encore (cette œuvre n’est malheureusement plus visible à Los Angeles).

Photo invader.spotter.free.fr

Le tee-shirt ne se flashe pas, mais on s’en doutait…

Cela peut paraitre surprenant de trouver un article sur un tee-shirt sur ce blog plutôt geek, et pourtant ce n’est pas la première fois. Par exemple le Transmit pour la Geek pride day, le Coda dans la collection 2009-2010 du geek Mac, les tee-shirts Microsoft Softwear et enfin l’indispensable Spinner de Panic !

Tous les articles sur FlashInvaders et les Invaders.

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L’étrange IRM

15 septembre 20184 commentaires

Pour vivre une expérience étrange, il n’est pas forcément nécessaire de visiter les sous-sols d’une usine désaffectée ou de faire un Escape Game enfermé dans un cercueil. Un examen médical comme l’IRM peut suffire !

L’Imagerie par Résonance Magnétique est un examen qui permet d’obtenir des images en trois dimensions de l’intérieur du corps. Un très important champ magnétique et des ondes radio vont provoquer une mise en résonnance des atomes d’hydrogène, ce mouvement pourra alors être mesuré et la zone sera cartographiée.

Mais en quoi l’IRM est une expérience bizarre ? Dans mon cas il s’agissait de comprendre l’origine de mes multiples passions farfelues *, et c’était donc mon cerveau qui était analysé. Je me suis retrouvé couché sur une table, la tête immobilisée et enfermée dans un « casque antenne » digne des films de SF. La table s’est mise en mouvement, mon corps est entré dans le tube avec l’immense aimant autour. Je ne suis pas claustrophobe, non je ne suis pas claustrophobe, non…

Le plus surprenant est à la mise en marche de l’IRM. Ça commence comme « Messe pour le temps présent » de Pierre Henry :

Psyche Rock
Psyche Rock
Psyche Rock
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Puis, pendant dix minutes, des passages de Techno Hardcore, de Trans, de musiques électroniques qui donnent envie de danser dans le tube. Sauf qu’il ne faut pas bouger.

Smack my bitch up
Smack my bitch up
Smack my bitch up
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Étrange, vraiment étrange.

* Évidemment, aucun appareil ne peut y arriver. Et non, vous ne connaitrez pas la vraie raison, mais rien de grave…

Crédits Photos : © David One
Crédits Audio : Pierre Henry Messe pour le temps présent – Prodigy Smack my bitch up

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Bot twitter «Tiny Escape Room»

12 juillet 20182 commentaires

Une mini idée débile pour une mini réalisation…

Il existe depuis des années des bots (robots) twitter qui publient automatiquement des tweets sur une thématique donnée. Certains sont sérieux, d’autres complétement farfelus avec par exemple des générateurs de jardins @tiny_gardens, de galeries d’art @thetinygallery, d’espace @tiny_astro_naut ou même d’arrêts de bus @tiny_bus_stop… Ils sont inutiles, et donc indispensables !

Bizarrement, rien n’existait sur les Escape Games. Générer une salle aléatoirement pouvait être fun, restait à creuser l’idée et trouver le moyen de le faire.

Graphismes

Mais comment représenter un Escape Game en 280 caractères ? Un plan vu de dessus semble le plus évident et en associant quelques emojis, il est possible de représenter les pièces. Il faut ensuite placer les portes, puis quelques objets de l’univers des escapes, des clés, cadenas, codes, etc.

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Une fois les graphismes plus ou moins décidés, l’étape suivante est la création du bot.

Programmation

Une grande partie des bots est créée avec Cheap Bots, Done Quick!, un site qui se programme en Tracery et qui automatise la publication des tweets. L’avantage est évidemment la simplicité, l’inconvénient est d’arriver à faire entrer les contraintes de formes aléatoires de salles, de portes et d’objets avec les règles du Tracery. Ce n’est malheureusement pas possible ou je n’ai pas assez creusé.

Reste alors la programmation old school et c’est parti pour quelques heures de développement, quelques heures qui vont finir par faire quelques jours.

1. Générer les pièces

La partie la plus simple et la définition aléatoire des dimensions de la salle et des pièces, le tout en gardant à l’esprit les 280 caractères de twitter. Chaque carré d’un mur, chaque carré du sol, chaque objet est un caractère.

2. Ajouter des portes

Viennent ensuite les portes. Pour la porte d’entrée, c’est tout bête, elle sera aléatoirement le long d’un mur extérieur.

Par contre, les portes intérieures sont moins simple à placer. Il y a sans doute des tonnes d’algorithmes qui font ça très bien, mais tant qu’à délirer sur un petit projet comme celui-ci, autant inventer soi-même une méthode. Et si la solution n’était pas de simuler un déplacement d’un personnage depuis l’entrée, de créer des portes et de vérifier que chaque pièce est accessible ? Ça se tente…

3. Ajouter des éléments

Les émojis ne sont pas infinis et il n’y a bizarrement que très peu de meubles. Un canapé, une baignoire mais pas de table ni d’armoire. Il va falloir jouer avec les autres objets pour remplir tout ça. De nouvelles contraintes sont créées, certains objets sont indispensables (l’horloge des 60 minutes), d’autres peuvent apparaître plusieurs fois, certains sont associés deux par deux…

4. Thématiser

Et si les objets n’étaient pas choisis aléatoirement mais selon un thème ? L’Escape Game est un laboratoire ? Médicaments et microscope côtoient des dessins de courbes sur les murs. Pour du médiéval, il y a des boucliers, des épées, des bougies et des fleurs de lys…

Le sol est tristement gris, les murs noirs, pourquoi ne pas ajouter de l’eau, du feu, de la fumée de temps en temps ?

4. Et enfin tweeter

Pour finir, le beau dessin aléatoire doit être automatiquement tweeté. Il faut comprendre le système de publication de Twitter et à s’y connecter.

Le résultat

Le bot tourne depuis maintenant un mois, avec plusieurs publications par jour. Certaines sont funs, d’autres moins réussies, le hasard s’amuse bien !

Si vous êtes curieux, c’est ici : @tiny_escaperoom. Arriverez-vous à trouver votre chemin, trouver les éléments et réussir à sortir ?

Follow @tiny_escaperoom

Pourquoi Escape Room et pas Escape Game ? Il n’y a qu’en France que nous appelons un jeu d’évasion « Game », alors autant pour une fois utiliser le nom international.

Reste à faire la promotion de ce petit bot et à y ajouter quelques nouvelles idées. Et qui sait, il y aura peut-être de temps en temps de véritables salles cachées au milieu des fausses.

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Classé sous :Escape Games, Geek, Une 2 commentaires

Le train électrique pour grands…

17 novembre 2016Laisser un commentaire

Si depuis tout petit vous rêvez de monter dans la cabine d'un conducteur du Métro, n’hésitez pas, assumez votre esprit d’enfant ! Voici comment je me suis retrouvé à conduire un RER…

Aout 2012, Charles de Gaulle-Étoile, le trafic est totalement interrompu sur le tronçon central du RER A. Une rame est à l’arrêt à la station et les voyageurs ne savent que faire sur le quai. Le conducteur discute devant sa porte, je m’en approche et lui demande s’il est parfois possible de monter dans la cabine pour faire un trajet. J’y pense depuis des années mais je n’ai jamais osé jusque-là. C’est effectivement faisable, cela dépend des conducteurs et il accepte lui-même souvent, mais ce ne sera pas pour ce soir puisque les trains ne repartent pas, en tous cas pas pour le moment.

Plutôt que de prendre une correspondance, je monte dans le premier wagon et patiente un peu. Par chance le trafic reprend plus tôt que prévu, et la rame démarre ! A la station suivante je me décide, descends sur le quai et frappe à la porte de la cabine. Le conducteur me reconnaît et me propose de monter avec lui. Ça y est, mon rêve d’enfant ferrovipathe va se réaliser, et au-delà de mes espérances…

rer_2Le conducteur m’explique entre Auber et Chatelet le fonctionnement des différents équipements, mon sourire est indescriptible et la vue depuis la cabine incroyable. L’arrivée en gare de Chatelet se fait par un virage en montée, à peine sensible en tant que passager mais bien visible d’où je suis. Il démarre, sort de la gare, et me propose de prendre les commandes. Ai-je bien entendu ?

Je me retrouve à conduire un RER à 90 Km/h, les lumières défilent dans le tunnel, j’ai l’impression d’être dans wipEout. La Gare de Lyon approche, il me montre la manette de freinage, je ralentis par à-coups et immobilise la rame un peu brutalement, quelques mètres trop tôt. Je redémarre doucement pour m’aligner au bon endroit et n’ose penser aux voyageurs qui sont secoués par mes manœuvres. Ouverture, puis fermeture des portes, le train repart. Je profite du calme du tunnel quelques instants, jusqu’à Nation. Le quai est bondé, j’ai l’impression que tout le monde me fixe. Mon second arrêt est bien meilleur, mais je suis presque en nage et préfère laisser le conducteur reprendre les commandes pour la suite. La fin du trajet est plus contemplative, la vue est vraiment étonnante…

Depuis ce jour, je frappe de temps en temps aux portes et les conducteurs acceptent une fois sur deux. J’ai pu monter dans trois générations de rames sur le RER A, l’ancienne MS 61 aujourd’hui réformée, la MI 79 rouge, et la récente MI 09. J’ai même fait un trajet en compagnie de l’auteur de «Mesdames et messieurs, votre attention s’il vous plait», le conducteur Cédric Gentil (@GentilCedric). Les gares apparaissent tout autrement depuis la cabine, les perspectives changent et certaines gares deviennent très esthétiques. Un des plus beaux moments était après une nuit de neige sur l’ile de France, les voies étaient blanches, tout était calme, presque magique.

rer_1

Les conducteurs sont généralement accueillants, même s’ils n’ont en théorie pas l’autorisation de faire monter les passagers. L’un d’eux m’a raconté qu’il avait été surpris en passant de la conduite du Métro au RER, que le public n’était pas le même, plus distant, et qu’il avait beaucoup moins de demandes. Si vous n’osez pas frapper à la porte, vous pouvez avoir un aperçu des sensations en montant dans la première voiture du Métro ligne 1, cette rame est automatisée et vous pouvez vous placer derrière le «pare-brise».

En cas de problème…
A apprendre par coeur…

Crédits Photos : © Sébastien Mougey

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Beurk 3 – Coca Cola «Tastes of the World»

29 août 20151 commentaire

Les amoureux de la cuisine associent généralement le menu dégustation d’un restaurant à un moment agréable, au plaisir gustatif et aux découvertes culinaires. Les chefs les plus doués peuvent même parfois rendre ce moment inoubliable.

La boutique Coca Cola de Las Vegas propose aussi son menu dégustation, le plateau «Tastes of the World» est tout autant inoubliable… …mais pour des raisons bien différentes.

16 boissons de 16 pays à découvrir, à déguster, à reconnaître. De bonnes surprises comme le Fanta Melon, et d’autres plus proches du bain de bouche ou du répulsif chimique spécial zombies. Mais si vous pouvez savourer ce moment à plusieurs, n’hésitez pas un seul instant.

Toute cette série «Beurk» n’est pas très Geek, c'est vrai, ou alors dans le sens historique du terme.

Beurl-3-coca-cola-Tastes-of-the-world 1
Beurl-3-coca-cola-Tastes-of-the-world 2

Crédits Photos : © Sébastien Mougey

Classé sous :Geek 1 commentaire

Beurk 2 – Color Run

23 avril 2015Laisser un commentaire

J’ai sans doute dû manger de la Maïzena dans mon biberon quand j’étais bébé, et il m’est resté un truc inconscient qui m’a poussé à m’inscrire à la Color Run. Ou ça n’a peut être rien à voir et c’était juste pour participer à une course débile, comme je le fais souvent.

Et donc, bouche grande ouverte, j’ai pu goûter à la fécule de maïs colorée de jaune, bleu, vert et rose, et me dire que j’étais un bébé du futur, prêt à manger des pilules de viande artificielle. Le résultat est décevant, un fort goût de poussière, même pas de parfum, le bleu ressemble au vert… Haribo est plus fort avec ses oursons d’or.

Quelques photos tout de même, à la GoPro, pour avoir une vision de l’événement de l’intérieur. Et les autres articles de la série des «Beurk».

Color Run

· 19/04/2015 · Paris
· GoPro Hero 3+ Black · 2,77 mm · 1/1640 s · ƒ/2,8 · 100 ISO
· © Sébastien Mougey · Tous droits réservés · All rights reserved
· Sur 500px

Color Run

· 19/04/2015 · Paris
· GoPro Hero 3+ Black · 2,77 mm · 1/1596 s · ƒ/2,8 · 100 ISO
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