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Starter Pack sans I.A.

13 avril 20254 commentaires

Créer un vraie fausse figurine à la main sans I.A, c’est possible…

Après les images générées par I.A dans le style du studio Ghibli et de Miyazaki, la nouvelle tendance est les Starter Packs, des fausses figurines sous emballage plastique. Une contre tendance en réaction est de créer à la main ces figurines, sans utiliser l’intelligence artificielle générative, avec des outils traditionnels.

C’est donc armé de papier, cutter, colle, de plusieurs logiciels, de mon imprimante, et surtout d’éléments LEGO que j’ai décidé de faire ma propre boite de figurine sans I.A.

Le tee-shirt est orange, forcément, le jean bleu, la coupe me ressemble un peu. Le téléphone est bien sûr pour FlashInvaders, la carte pour l’Urbex et le Geocaching, l’ordi et le mug C:\ pour mon côté toujours geek.

Voici les différentes étapes de la création.

Mélange d’éléments de plusieurs Minifigs pour trouver un tee-shirt Orange, une coupe pas trop éloignée de la mienne…
Préparation du gabarit…
Un peu d’Affinity Designer, un peu de Photoshop pour la boite…
Ça avance…
Découpage…
Le couvercle avec sa feuille de plastique…
Presque terminé. Reste un peu de Photoshop pour nettoyer le tee-shirt et ajouter un peu d’effet sur le plastique…

Crédits Photos : © Sébastien Mougey.

Classé sous :Geek et High-Tech, Une 4 commentaires

Wikipedia, découverte empirique de la publication

1 mai 20242 commentaires

De surprise en surprise, comment une de mes pages Wikipedia a été créée, publiée, nettoyée, puis supprimée avant de réapparaitre…

Si je collaborais à Wikipedia depuis 2008, ce n’était que pour des modifications mineures sur des articles, avec de légères corrections ou ajouts, pas plus. Plein de naïveté, je me décide en 2019 à créer intégralement la page du festival de jeux de société Paris est ludique. Je crée le squelette, l’intro, j’ajoute de nombreuses informations sur les neuf éditions (dates, nombre d’exposants, fréquentation…) et des liens vers les pages du festival. C’est un travail de recherche, de recoupement de données, proche de ce que je pouvais faire quand j’étais journaliste. Satisfait du résultat, je publie la page.

Premier événement bizarre quelques heures plus tard, tous les liens disparaissent avec le commentaire « N’importe quoi » d’un modérateur. Puis les infos des éditions disparaissent à leur tour avec le motif « Manque des sources secondaires ». Surpris, je me plonge alors dans les règles de Wikipedia et je découvre la notion de source primaire, secondaire, tertiaire (voir en fin d’article le résumé). Mon erreur est que l’on ne peut pas être soi-même auteur des informations, sinon c’est ce sont des « Travaux Inédits », ce que ne permet pas l’encyclopédie libre. Contrairement aux encyclopédies commerciales, il n’y a pas ici de comité de lecture qui valide les informations. Elles doivent provenir de sources secondaires fiables, comme la presse écrite, pour lesquelles des journalistes ont déjà effectué le travail de vérification.

Je reprends alors mon article pour ne plus être « l’auteur » des informations, compilées à partir des données de l’organisateur du festival ou d’autres éléments. Je me base maintenant sur des articles déjà publiés, et je ne fais que résumer et « sourcer » ces informations, c’est-à-dire en indiquer la provenance.

Nouvelle surprise le lendemain, la page est totalement supprimée ! Une page sur ce festival a déjà existé en 2014 et elle fût supprimée par manque de sources et par la confidentialité du festival à l’époque, et on ne peut pas recréer une page dans ces conditions. Suite de mon apprentissage de Wikipedia, je découvre un formulaire de demande de réouverture de page, avec motivation de ma demande. Après étude des modérateurs la page est finalement réouverte. Un vote d’une durée de sept jours est mis en place au sein des collaborateurs de l’encyclopédie, pour décider ou non de sa survie. Le vote est positif et la page peut rester visible.

Avec le temps, la page de Paris est Ludique m’échappe petit à petit, plusieurs rédacteurs ajoutent des informations, elle s’enrichit et je la vois vivre avec plaisir…

J’aurais pu, dû même, me renseigner avant de me lancer dans la création de cette page et lire les différents articles et aides à la rédaction. Je n’aurais sans doute pas pu imaginer qu’une page antérieure avait été supprimée, mais pour tout le reste, tout était clairement indiqué. Une expérience surprenante de rebondissements et enrichissante.

En résumé :
– Source primaire : Les travaux originaux, les informations initiales, les rapports d’événements.
– Source secondaire : Des auteurs ont réalisé une analyse et synthèse de sources primaires.
– Source tertiaire : Compilation de sources secondaires, donc encyclopédies.
– Source fiable : Publiées, et non liées à l’information initiale.

Pour plus d’informations : Wikipédia en bref, Vérifiabilité, Citez vos sources, Sources primaires, secondaires et tertiaires et FAQ Sources.

Classé sous :Geek et High-Tech, Une 2 commentaires

Bugophilie 6

21 décembre 2022Laisser un commentaire

Bugophile, subst. masc. : Collectionneur de bugs.

Une petite sélection des 7.216 bugs rencontrés depuis deux ans.


Mon favori de cette nouvelle sélection, Swarovski Champs Elysées · mai 2021

Uffa ! Le métro parisien parle italien · décembre 2022

Il y en a aussi au ski ! Tignes · mars 2022

8 h et quelques · septembre 2020

Un classique à CDG · otobre 2021

Un autre classique à CDG · aout 2021

En Italie aussi · aout 2022

Un autre angle de mon préféré · mai 2021

Pour voir toutes les photos de la collection bugophile depuis 2012 : Bugophilie.

Crédits Photos : © Sébastien Mougey

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Beurk 4 – Mate de Coca

30 janvier 20225 commentaires

Les articles «Beurk» présentent des découvertes gustatives étranges, des expériences bizarres, pas forcément mauvaises ni extrêmes, mais en tous cas originales.

Cela faisait pas mal de temps que je voulais relancer la série des «Beurk», plus de six ans après le Beurk 3 – Coca Cola «Tastes of the World». Si vous avez suivi les récents articles de ce blog, les mosaïques d’Invader sont le thème dominant du moment. Son invasion de Potosi en Bolovie est surveillée par tous les fans, ses stories Instagram scrutées, et quand il parle de son mal de l’altitude à 4000m et de ses infusions au Mate de Coca, on se demande bien ce que ça peut être…

Un copain flasheur, Vicente, a pu satisfaire ma curiosité et j’ai pu goûter à cette infusion de feuilles de coca typique de Bolivie, Colombie ou Pérou. Ce n’est pas avec mon altitude extrême actuelle (40 mètres d’après l’iPhone), ni pour la concentration de cocaïne, mais pour le plaisir de la découverte. Et c’est plutôt bon, très légèrement amère.

Allez, maintenant je suis prêt pour flasher tout Potosi.



Crédits Photos : © Sébastien Mougey

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Geek – How it started, How it’s going

11 juillet 20213 commentaires

Le codeur et le geek de 2021 ne ressemblent plus à celui de 1981…

La minifig du vieux programmeur vient de la série 7 de 2012. Celle du développeur Unity vient d’un concours organisé par Lego et Unity (merci Cyril pour le prêt). Elle a même deux têtes et deux coiffures, car il y aussi des filles qui développent.

Crédits Photos : © Sébastien Mougey

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Bugophilie 5

28 juin 20203 commentaires

Bugophile, subst. masc. : Collectionneur de bugs.

Nouvelle série de bugs avec le renfort d’un autre chasseur de plantages, Seb, alias The Purple Mouse.

Pour le métro, c’est par là · janvier 2020


Le 2ème train a doublé le 1er · juin 2019

Vous avez vos outils ? · juin 2019

Un bel affichage en gare SNCF · juin 2019

Une borne Velib visiblement sous Windows · mai 2019

Velib : a new version of your WebRTC Plugin is available · septembre 2018

POS Ouvert, Shift fermé · juin 2019

Et pour finir, ce n’est pas un bug mais le réglage d’une vidéprojection sur scène juste avant un concert à Solidays (The Blaze).


Solidays · juin 2019

Pour voir toutes les photos de la collection bugophile depuis 2012 : Bugophilie.

Crédits Photos : © Sébastien Mougey et The Purple Mouse

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Création d’un podcast

20 avril 2020Laisser un commentaire

Nous en parlions depuis des années avec les Polygamer, mais par manque de temps nous repoussions systématiquement la création de notre premier podcast. Nous avons finalement réussi à l’enregistrer, le monter et le diffuser…

Comme je l’écrivais dans le trac du Podcast, j’avais déjà participé plusieurs fois à des podcasts depuis 2017 et l’exercice me plaisait bien. Mais si être invité est confortable, passer à la réalisation est encore plus excitant, et complètement différent.

Voici le détail des différentes étapes, de la prise de son à la diffusion. Cet article technique est publié sur ce blog car il a finallement plus sa place ici que sur polygamer.com, moins geek.

Prise de son

Si la prise de son peut être faite avec n’importe quel micro, y compris celui de son ordinateur ou du casque de son téléphone, il est possible d’améliorer grandement la qualité sonore pour un coût relativement faible. Après hésitation sur un microphone USB comme ceux de la marque Blue, et sur les conseils de François Touchard, le réalisateur d’EscapeCast, j’ai craqué pour un micro traditionnel voix et une petite table de mixage (les références sont en fin d’article). Le micro voix a une belle chaleur, un son doux agréable, et l’on peut y ajouter une bonnette qui atténue les « pop ».

La table de mixage USB a pour avantage de pouvoir accepter plusieurs sources, dont évidemment le microphone, et de servir de convertisseur analogique/numérique. Il est par exemple possible d’y brancher un téléphone ou un iPad pour insérer des bruitages ou des jingles pendant la session grâce à un « Cartoucheur ». Les bruitages peuvent toujours s’ajouter plus tard lors du montage, mais ceux diffusés en temps réel permettent aux intervenants de réagir et paraissent donc plus naturels.

Enregistrement

Comme nous ne pouvions nous retrouver physiquement avec les autres Polygamer, nous sommes passés par un site web qui permet de communiquer entre nous et de télécharger en fin de session les fichiers audio de chaque participant. Nous avons à la fois utilisé Zencastr et Cleanfeed. Le vétéran Skype aurait pu faire l’affaire, mais autant utiliser des systèmes spécifiquement conçus pour l’enregistrement.

Je n’aborderai pas ici le cas de tous les intervenants en un seul lieu, chacun équipé d’un micro et d’un casque. Il est illusoire de croire que nous y arriverons un jour vu notre organisation légendaire, d’autant que l’équipement n’est pas le même.

Montage

La phase suivante est le montage, qui permet de couper les hésitations, les erreurs, uniformiser les voix et insérer des musiques. Les logiciels adaptés sont des stations audio numériques ou DAW (digital audio workstation), et il en existe des dizaines. Évidemment aucun intérêt de viser les très pros et chers Pro Tools ou Cubase (quand je pense que j’ai développé pour Steinberg dans une ancienne vie, mais c’est une autre histoire). A l’inverse, si Audacity est gratuit, il est aussi limité et surtout ne fait que de l’édition destructive des enregistrements.

Après avoir parcouru de nombreux articles et testé différents logiciels, j’ai décidé de monter le podcast sur Hindenburg Journalist. Son orientation journalistes/podcasteurs en fait un logiciel très simple à utiliser et permet de se concentrer sur le contenu plus que la technique. Si le résultat est à la hauteur de ce que je voulais faire, j’ai néanmoins trouvé quelques limitations dans sa version non Pro.

Une fois le podcast monté et diffusé, j’ai continué mon tour des DAW et Reaper revenait très souvent. En remontant les cinq premières minutes du podcast pour tester Reaper, j’ai très vite été convaincu par sa puissance et sa souplesse. Il est à l’opposé de Hindenburg Journalist dans sa philosophie et nécessite un apprentissage plus long, mais offre évidemment bien plus de fonctionnalités. Son prix est étonnamment faible pour ce qu’il permet (60$).

Un des points qui m’a convaincu est la possibilité de créer des raccourcis clavier regroupant plusieurs actions (supprimer + joindre + réécouter…) et donc de pouvoir couper des parties des enregistrements très rapidement et monter beaucoup plus vite.

Diffusion

Dernière étape, le podcast et prêt, exporté en mp3 et il faut le diffuser. Si de nombreuses plateformes se sont créées pour cela depuis 10 ans, nous avons déjà le site Polygamer et il suffisait de rédiger un article et d’y inclure le mp3, Podcast Polygamer, nos sales voix dans tes oreilles.

Mais nous voulions aussi que le podcast soit accessible sur les différents sites et applications de streaming musical et de podcasts. C’est relativement simple sur Soundclound puisqu’il suffit de créer un compte et télécharger le mp3. Pour les autres plateformes, il faut préalablement créer un flux RSS dédié au podcast. Après de nouveaux tests, j’ai finalement créé ce flux totalement à la main, le format n’étant pas complexe. J’ai ensuite référencé le flux sur les sites Apple Podcasts, Spotify et Deezer (les liens indiqués sont directement ceux des sections podcasteurs).

Google n’en faisant comme d’habitude qu’à sa tête, pas de flux RSS, pas d’upload pour Google Podcasts, mais un système tordu qui passe par le crawl du moteur de recherche. Un outil de tests et preview est heureusement disponible.

Beaucoup d’étapes donc, mais aussi beaucoup de plaisir…

PS : Le micro est un Thomann MB85 Beta et la table de mixage une Behringer Xenyx Q502USB. Crédits Photos : © Sébastien Mougey

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Festival du court métrage de Clermont-Ferrand

9 février 2020Laisser un commentaire

Première expérience d’un festival international de courts métrages, entre le superbe et l’incompréhensible.

Si je suis un adepte des festivals musicaux depuis des années (pour ne pas dire des décennies), je n’ai que rarement pu assister à des festivals cinématographiques. Mes lointaines expériences étaient les festivals de films fantastiques d’Avoriaz et du Grand Rex, au siècle dernier. Par curiosité et par chance, avec des copains qui habitent Clermont-Ferrand, nous avons pu nous plonger dans trois sessions le temps d’un week-end.

Ce festival de courts métrages est le plus important au monde, et le second festival de cinéma français après Cannes. Il rassemble plusieurs centaines de films (dont 54 pour la sélection française et 80 à l’international pour cette édition), et 165.000 entrées l’année dernière. L’ambiance dans la ville est joyeuse, des milliers de festivaliers se promènent dans les rues, leurs badges d’accès autour du cou, sous le soleil de février. On entend un peu toutes les langues et des queues se forment dans les rues, devant les différentes salles de projection.

Nous assistons aux sessions internationales I1 et I5 et à la française F3, pour un total de 14 films. La différence de niveau est assez étonnante et les courts métrages internationaux sont globalement meilleurs que les français, ils ont sans doute dû passer plus de sélections avant d’arriver à ce festival. Une session de cinq films de suite permet d’avoir cinq fois plus de chance de tomber sur des petites merveilles, mais aussi de risquer d’avoir des réalisations barrées et incompréhensibles. Et dans certains cas, nous nous sommes retrouvés lors du générique de fin dans un état de profonde perplexité, à douter de la santé mentale du réalisateur, ou de la nôtre ! La palme de l’étrange revenant à une animation sous acides ukrainienne et un film sur des chasseurs Grecs où il ne se passe rien pendant vingt minutes. Ce dernier a étrangement remporté le prix spécial du jury.

Les grandes réussites de nos trois séances sont un film néo-zélandais Daniel et un film d’animation français, Mémorable, qui a d’ailleurs remporté deux prix. On peut y ajouter Matriochkas, The Manila Lover, Je finirai en prison et Oslo.

Et entre deux sessions, de nombreux Space Invaders recouvrent les murs de la ville et permettent de belles balades Street Art, dont le sublime Gainsbourg.

Vous trouverez plus d’infos sur le site du festival.

Liste des courts métrages :
I1 : Lefty / Righty (USA), Matriochkas (Belgique), Girl in the Hallway (Canada), Tradition (Allemagne), The Manila Lover (Norvège/Philippines).
I5 : Daniel (Nouvelle Zélande), Oslo (Israël), Kohannia (Ukraine), All the Fires the Fire (Grèce), Je finirai en prison (Canada).
F3 : Disciplinaires, Massacre, Mémorable, Mars Colony

Crédits Photos : © Sébastien Mougey

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La demoscene existe toujours !

19 janvier 20202 commentaires

Alors que je pensais que les demomakers n’avaient pas survécu au XXè siècle, j’ai découvert en novembre dernier qu’il y avait toujours une demoscene active et des festivals dans le monde entier !

Demomaker, demoscene, demoquoi ?

Des artistes s’amusent depuis les années 1980 à créer des programmes dont le seul but est de présenter des animations visuelles et sonores, tout en repoussant les contraintes techniques des ordinateurs. Ces démos artistiques sont réalisées par des groupes de développeurs, de graphistes et de musiciens un peu fous. Les images, animations et musiques sont calculées en temps réel par l’ordinateur, la prouesse étant de faire de plus en plus beau malgré la faible puissance.

La scène explose au moment de l’apparition des ordinateurs couleur grand public comme le Commodore 64, l’Amiga ou l’Atari ST. Les joueurs de l’époque découvrent ces petites démos lorsqu’ils récupèrent des jeux crackés, elles sont souvent insérées en introduction et servent de signature.


Fairlight – Commodore 64

Ces démos ont aussi une vie en dehors du piratage, et des concours et festivals naissent dans les années 90. Les demoparties regroupent alors des (demo)sceners pendant des week-end entiers, autour de compétitions des meilleures démos.

Les démos deviennent une forme d’expression artistique, importante dans l’univers geek.


State of the Art – Spaceballs – Amiga – 1992

Avec l’arrivée du PC et l’explosion de la puissance, la scène évolue entre ceux qui restent attachés aux anciens ordinateurs et ceux qui cherchent à faire toujours plus beau. Pour conserver l’esprit de la demoscene, des contraintes de taille sont imposées. Les démos doivent par exemple ne pas dépasser 64 Ko, ce qui est très peu, et même 4 Ko pour certaines catégories.


Elevated – RGBA & TBC – PC 4 Ko – 2009

La demoscene en 2020

Les demomakers n’ont pas disparu et la scène est toujours active en 2020. Selon demoparty.net, il y aurait même 28 événements prévus cette année !

Les réalisations récentes sont impressionnantes, il suffit de voir les gagnants des dernières Revision pour s’en rendre compte.


Block One – Fairlight & Cocoon – PC – 2018

Hybridation Geocaching

J’ai redécouvert cet univers par un copain qui me racontait qu’il avait inséré une énigme dans une de ses démos (par ailleurs primée lors du festival Revision 2019). La résolution de l’énigme donnant les coordonnées d’une boîte cachée dans Paris !

Je ne pouvais évidemment pas résister et je me suis précipité sur la retranscription YouTube de cette démo, faute d’Amiga sous la main. Une fois l’énigme résolue et la boîte localisée, nous sommes partis avec mes compères de geocaching fouiller un cimetière parisien et signer le logbook…


De Profundis – Lemon. & The Deadliners & Oxygene – Amiga – 2019

En savoir plus

Vous trouverez plein d’infos sur la demoscene sur pouët.net et scene.org.

Remerciements à Made pour la relecture et pour ton énigme dans De Profundis ! Illustration de l’article Block One de Fairlight & Cocoon

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The Centrifuge Brain Project, les manèges de l’extrême

1 janvier 2020Laisser un commentaire

Pour le premier article de 2020, retour sur les étranges manèges de l’Institut de recherche centrifuge.

En entrant dans l’exposition Art Robotique de la Cité des Sciences en 2014, les visiteurs se retrouvaient face à d’immenses plans de manèges un peu fous. Plusieurs écrans projetaient des vidéos de ces manèges en activités et l’on pouvait passer devant sans trop se poser de question.

Mais si l’on s’attardait un peu, la curiosité l’emportant, leur violence extrême, la durée des attractions en dizaines d’heures et les incompatibilités avec la gravité terrestre commençaient à faire douter le spectateur. Le Dr Nick Laslowicz, chercheur de l’Institut de recherche centrifuge basé en Floride expliquait pourtant de manière très sérieuse l’impact sur le cerveau d’un manège ou la simulation prénatale du «Dandelion».

Tout était finalement un superbe faux documentaire créé par Till Nowak, un artiste et réalisateur Allemand ! Si vous ne l’avez pas encore vu, laissez-vous captiver et embarquez dans ces manèges impossibles.


Version sous titrée

Crédits Photos : © Till Nowak

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