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Urbex – «Le manoir de l’Homme au ballon»

14 novembre 2019Laisser un commentaire

Visite d’un manoir Normand qui a eu plusieurs vies, de la colonie de vacances au centre de désintoxication, pour finir aujourd’hui à l’abandon…

Cela faisait presque deux ans que je n’avais pas fait d’Urbex, en dehors de quelques coups d’œil furtifs au travers de fenêtres de bâtiments désaffectés. Deux ans sans le plaisir de l’exploration, de la découverte, de la surprise, jusqu’au week-end dernier !

Au détour d’une balade en Normandie, nous passons devant un grand manoir qui semble abandonné. Aucune barrière ne ferme le terrain et il est impossible de résister à la tentation, de ne pas nous en approcher, tant le bâtiment est beau. Nous le contournons, mais comme nous sommes en famille et que je n’ai aucune idée de son état intérieur et des risques, je préfère ne pas y entrer. En tous cas pas tout de suite…

Par chance, un copain avec qui j’ai déjà visité la Fac de 12h02 et une des explorations de l’Entrepôt au manège clandestin est aussi dans la région, et nous décidons de nous y retrouver le lendemain matin.

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Catégorie(s) : Photographies, Une, Urbex Laisser un commentaire

Territoire du nord

10 août 2019Laisser un commentaire

Un croisement entre Ayers Rock et Kings Canyon, en Australie.

· 28/07/2018 · Australie
· Olympus E-M1mk2 · 12 mm (equ 24) · 1/640 s · ƒ/9 · 200 ISO
· © Sébastien Mougey · Tous droits réservés · All rights reserved
· Sur 500px

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Hong-Kong

17 février 2019Laisser un commentaire

Hong Kong

La skyline de Hong-kong vue de Tsim Sha Tsui.

3 photos en bracketing d’exposition assemblées avec Aurora.

· 02/08/2018 · Hong-Kong
· Olympus E-M1mk2 · 12 mm (equ 24) · 1/20 s · ƒ/2.8 · 3200 ISO
· © Sébastien Mougey · Tous droits réservés · All rights reserved
· Sur 500px

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Au revoir Nikon, bonjour Olympus

4 février 20181 commentaire

Récit d’un switch de reflex FF à mirrorless µ4/3…

Il peut paraître surprenant de décider de remplacer un reflex plein format encensé par un hybride à capteur plus petit, et pourtant ! Après des mois d’hésitation, j’ai fini par prendre cette étrange décision, et je ne regrette pas une seconde.

Le plaisir du reflex numérique

Petit retour sur mon passé de photographe passionné pour comprendre cette lente évolution.

Août 2003, Canon annonce l’EOS 300D, le premier reflex numérique grand public. Cette déclinaison du 10D offre de bonnes caractéristiques pour un prix « accessible ». Je craque quelques mois plus tard et abandonne définitivement l’argentique. Le temps passe, ce Canon est remplacé par un autre Canon, puis par un Nikon de milieu de gamme, toujours en APS-C.

Plusieurs (dizaines de) milliers de prises de vues plus tard et comme beaucoup de photographes, je regarde de plus en plus les pleins formats et leur superbe montée en ISO, la faible profondeur de champ des grands capteurs, tout plein d’arguments imparables. A l’occasion d’un voyage au bout du monde en 2015, nouveau changement et le Nikon D750 devient mon nouveau jouet. Quel plaisir, quelle qualité, l’optique associée est magique et c’est une belle histoire entre ce Nikon et moi… Il est parfait en toutes situations, paysages, photos de rue, portraits, urbex en faible luminosité, etc.

Mais… …il y a évidemment un « mais », le poids augmente à chaque changement de gamme. Je passe successivement de 800 g à 1,2 Kg, puis à 1,6 Kg. Le poids des boîtiers évolue peu, mais pas les optiques ! Un Nikkor 24-120 f/4 n’est franchement pas neutre, et franchement pas discret. Mon usage étant uniquement amateur, je commence à moins sortir le Nikon, à ne plus avoir envie de porter tout ça. A bout de bras en vacances il passe encore, mais au quotidien ou pour les petites sorties, non.

Hybride, mirrorless ?

Première alerte fin 2016 ou début 2017, je commence à regarder les hybrides, ces boitiers dépourvus du complexe mécanisme de visée reflex, aussi appelés mirrorless. Les micro 4/3 sont tous mignons et semblent offrir des caractéristiques surprenantes. Mais le format 4/3 n’est-il pas un peu étrange, comparé à l’habituel 3/2 ? Je ne suis pas encore prêt à changer de ratio, à réduire la largeur de l’image, et les avis sur la visée électronique me refroidissent.

Deuxième alerte à l’automne 2017 lors d’un voyage à Berlin. Le Nikon est avec moi mais la météo est moyenne et je le promène pour ne quasiment pas déclencher, je le trouve de plus en plus gros, lourd, intrusif… Je profite des vacances pour me documenter, me replonger dans les forums, lire les différents avis, consulter les copains. Fuji est hors course avec ses raw qu’aucun logiciel ne développe, Canon n’a quasiment pas d’objectifs EF-M, Sony propose des mirrorless aussi gros que les FF des autres marques, reste Olympus et Panasonic.

De retour sur Paris je découvre qu’Olympus propose via son réseau de revendeurs des prêts d’appareils, ils sont clairement en phase de reconquête et veulent se distinguer des autres constructeurs. Un après-midi avec un « E-M1 mk II » suffit à me convaincre, et je n’ai pourtant pas encore découvert toutes les possibilités de ce boîtier. Le Nikon se revend en quelques jours, les différentes optiques partent aussi rapidement et l’Olympus est mon nouvel ami.

Je découvre avec surprise que Canon et Nikon se sont totalement endormis, que leurs évolutions depuis des années sont d’une étrange frilosité. Tout n’est pas lié à l’hybride et son absence de miroir et de prisme, mais plutôt à une vision très traditionnelle de la photographie et a un manque de curiosité de ces marques.

A côté, cet Olympus propose tant de nouveautés (en tous cas pour moi) que j’en suis surpris. Si mon but premier était de réduire la taille et le poids, but largement atteint pour une qualité très proche avec des optiques de la gamme pro, les autres possibilités renouvellent mon plaisir de photographe.

Je ne vais citer que deux exemples que je n’avais pas imaginés. Contrairement à mes craintes, le viseur électronique se classe du côté des points positifs. L’image rendue est en effet très proche du résultat final et la visualisation de la photographie qui vient d’être prise permet de corriger les réglages sans quitter l’œil du viseur, les compensations d’expo ou la fermeture du diaphragme deviennent naturels, immédiats. Autre point, la dimension plus réduite du capteur permet une stabilisation par déplacement de celui-ci, sur plusieurs axes. Elle est vraiment très efficace, un temps de pose de 2 secondes à main levée devient possible, ce qui n’était pas du tout le cas de mes précédents boîtiers et leur stabilisation par l’objectif. Il y a des dizaines d’autres points que les pros trouveront sans doute geeks et inutiles, mais ça tombe bien, je ne suis pas un pro !

Cet Olympus équipé d’une focale fixe équivalent à 30mm f/1,7 m’accompagne bien plus fréquemment, pour ne pas dire tout le temps. C’est un plaisir, et ça ne fait que commencer…


Nikon D750 24-120 f/4 à gauche, Olympus OMD E-M1 mk II 12-40 f/2,8 à droite

Crédits Photos : © Olympus et Camerasize.com

Catégorie(s) : Photographies, Une 1 commentaire

Une longue histoire

27 décembre 2017Laisser un commentaire

Pose longue : Temps nécessaire pour que ces feignasses de photons capturent un mouvement…

La «pose longue» en photographie a un coté fascinant, presque magique. Alors que tout est normalement fait pour qu’une photo soit la plus nette possible, que tout flou disparaisse, cette technique provoque l’effet inverse et permet de capturer un mouvement.

La bonne vieille pellicule argentique permettait déjà de jouer, mais le numérique a apporté le retour visuel immédiat, et donc l’apprentissage empirique. Quoi de plus simple que de tester, corriger, recommencer jusqu’à l’obtention du mouvement désiré ?

Une petite fouille archéologique de mes disques situe mes premiers essais en 2001, sans doute avec une webcam, puis en 2003 lors d’un voyage en Italie. Mais il faudra attendre 2013 pour que l’hypnose fasse effet et que cela devienne une petite obsession, un gimmick, un marqueur de mes voyages.

Tout commence par une ligne jaune…

Voici la «Photo zéro», celle qui a déclenché cette maladie. Pas de trépied, pas de filtre, juste un poteau, des taxis New Yorkais et beaucoup d’essais.


30/04/2013 · New York · Nikon D7000 · 21 mm (equ 31) · 1/3 s · ƒ/22 · 100 ISO

Longues nuits…

Une sortie un peu improvisée, comme à chaque fois, le trépied est resté à la maison et un morceau de barrière permet de stabiliser l’appareil. Une demie heure à prendre des bus à impériale, bloody tourist !


31/10/2014 · Londres · Nikon D7000 · 18 mm (equ 27) · 1,3 s · ƒ/7,1 · 100 ISO

Le Strip de Las Vegas est évidemment un décor incroyable pour jouer à ce petit jeu…


25/07/2015 · Las Vegas · Nikon D750 · 24 mm · 1 s · ƒ/4 · 100 ISO

Le plus simple est évidemment son environnement quotidien. D’autant qu’il est possible de prendre un trépied et de vraiment préparer la prise de vue.


6/03/2015 · Paris · Nikon D7000 · 18 mm (equ 27) · 3 s · ƒ/22 · 100 ISO

Le mouvement est ici moins important mais pourtant bien là, surtout visible sur le phare.


13/02/2016 · Paris · Nikon D750 · 65 mm · 3 s · ƒ/4 · 50 ISO

Métros et tramways…

Impossible de résister aux tramways, comme ici à Lisbonne…


11/04/2017 · Lisbonne · Nikon D750 · 30 mm · 2 s · ƒ/4,5 · 100 ISO

…à Berlin…


3/11/2017 · Berlin · Nikon D5500 · 55 mm (equ 82) · 3 s · ƒ/7,1 · 100 ISO

…ou à Amsterdam.


19/12/2015 · Amsterdam · Nikon D750 · 40 mm · 1/2 s · ƒ/4 · 100 ISO

A l’intérieur d’une rame de la ligne 1, à main levée. La stabilisation Olympus est incroyable.


9/12/2017 · Paris · Olympus E-M1mk2 · 15 mm · 1/2 s · ƒ/1.8 · 1250 ISO

Un voyageur sur un quai de RER.


26/03/2015 · Paris · Nikon D750 · 24 mm · 1 s · ƒ/13 · 100 ISO

Crédits Photos : © Sébastien Mougey

Catégorie(s) : Photographies, Top, Une Laisser un commentaire

Street Art – Blub L’Arte sa nuotare

20 août 2017Laisser un commentaire

«L’art sait nager», street art au détour des rues de Florence et Lucques…

L’auteur est Blub, un artiste Florentin qui détourne des tableaux célèbres en oeuvres subaquatiques. Dans le désordre, des chérubins de La Madone Sixtine de Raphaël, la Venus de Botticelli, Shakespeare, Bianca de medici de Bronzino, une scène de la Dolce vita de Fellini, Le triomphe de la chasteté de Piero della Francesca.

· 20/07/2017 au 25/07/2017 · Florence et Lucques · Italie
· © Sébastien et Alice Mougey · Tous droits réservés · All rights reserved

Catégorie(s) : Photographies Laisser un commentaire

Street Art – Sens Interdits

21 juillet 2017Laisser un commentaire

Du street art au détour des rues de Florence…

L’auteur de ces oeuvres est Clet Abraham, un peintre et sculpteur français.

· 19/07/2017 et 20/07/2017 · Florence · Italie
· © Sébastien Mougey · Tous droits réservés · All rights reserved

Catégorie(s) : Photographies Laisser un commentaire

Urbex – «L’entrepôt au manège clandestin»

26 mars 2017Laisser un commentaire

Cette exploration est un peu particulière car elle regroupe quatre visites différentes de novembre 2014 à avril 2016. La zone de presque 6 hectares se situe en banlieue parisienne, en pleine ville, et la dernière visite dévoilera un étrange manège…

Entrepôts SNCF

La toute première exploration s’est faite quelques semaines avant la destruction du premier lot de bâtiments, d’anciens entrepôts de marchandises de la SNCF.

L’accès est assez simple, ces bâtiments sont abandonnés depuis de nombreuses années et servent de terrain de jeu aux skateurs et graffeurs. Situés le long d’une voie de train et de RER, les grilles sont ouvertes et nous n’avons aucun problème pour entrer sur le terrain.

Ces quatre bâtiments sont quasi intégralement recouverts de tags, la visite se fait assez rapidement et il n’est pas évident de trouver l’usage qui en était fait. Il reste des traces d’un ancien maraicher et d’une société de déménagement. Un quai de chargement borde la voie ferrée et une longue rampe permet les accès des camions.

entrepots_01

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Catégorie(s) : Photographies, Top, Urbex Laisser un commentaire

Urbex – «Bodie, la ville fantôme»

4 août 20162 commentaires

Au revoir Seigneur, nous allons à Bodie…

Nous avons découvert la ville fantôme de Bodie lors d’un road trip de presque 4.000 km dans les états de Californie, Nevada, Utah et Arizona, à l’été 2015. Parler d’Urbex pour qualifier Bodie est peut-être un peu excessif, cette ville étant gardée aujourd’hui par les Rangers et ouverte aux visiteurs dès que les accès sont possibles, à la fonte des neiges. Il y a pourtant un côté un peu secret dans cette ville, qui commence dès son approche sur la State Route 270. Voici le récit de notre aventure, suivi de l’histoire de cette ville.

Après quelques jours dans le Yosemite, nous traversons la Sierra Nevada et décidons au dernier moment de faire un détour pour découvrir Bodie, une ancienne ville de chercheurs d’or. Nous nous engageons sur la SR 270, et parcourons les cinq derniers kilomètres en nous demandant si la voiture va résister à l’état de la piste et aux très nombreux trous. Une autre voiture nous double et le conducteur nous fait d’étranges signes, il essaie de nous faire comprendre qu’il y a quelque chose d’anormal sous la voiture. En effet, une partie de la protection sous le châssis de notre Dodge Charger est arrachée, nous continuons néanmoins et arrivons en vue de la « ville ».

urbex_bodie_02Nous avons immédiatement l’impression d’être à Walnut Groove, le pré que dévalaient Laura, Mary et Carrie Ingalls ne doit pas être bien loin… De très nombreuses maisons sont visibles, dans un étonnant état de conservation. Il ne reste qu’environ cinq pourcents des constructions, mais celles qui ont résisté aux multiples incendies et aux années de neige et de soleil sont en bon état, et encore meublées. Il coutait en effet moins cher à leurs habitants de tout laisser sur place et de racheter des meubles que de les déménager. Et si parfois les ameublements frôlent la mise en scène, cela ne gâche pas pour autant le plaisir de la visite.

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Cataphilie ? Urbex ?

11 mai 20161 commentaire

Après une furtive photo d’entrepôts fin 2014, deux articles Urbex sont apparus coup sur coup cette année sur le blog. Cela mérite quelques explications…

L’urbex, abrégé d’urban exploration, consiste à visiter des lieux abandonnés. Anciens bâtiments, usines, châteaux, maisons, tout est propice à l’exploration urbaine, dès qu’il y a un intérêt architectural, artistique ou historique. Mais ceci ne m’est pas tombé dessus d’un coup, du jour au lendemain.

Cataphilie

Mes premières amours avec les lieux interdits datent du lycée, à la fin des années 1980. J’habitais à l’époque dans le XIVè arrondissement de Paris, au dessus du fameux GRS ou Grand Réseau Sud, constitué des galeries des Vè, VIè, XIVè et XVè arrondissements.

Je suis descendu dans les catacombes, ou plutôt les carrières souterraines de Paris, quasiment un week-end sur deux pendant mes années de seconde et de début de première. C’est équipés de casque, combinaison de travail, rangers et lampe que nous visitions les sous sols, et les lieux mythiques que sont les salles F.F.I., l’ossuaire du Montparnasse, la plage, ou encore le réservoir de Montsouris. Ramper sur les ossements sous le cimetière de Montparnasse est une étrange expérience.

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Photos issues du site datacombes

Les accès étaient à l’époque relativement simples, que ce soit par les voies de la Petite Ceinture ou les nombreuses plaques «d’égouts» France Telecom autour de Port Royal. La principale difficulté était d’éviter la police à la sortie au petit matin, mais nous ne risquions pas grand chose tant que nous n’avions pas de bombe de peinture sur nous. Les quelques Skinheads croisés sous terre n’étaient pas non plus vraiment un danger.

Le Graal de tout cataphile était de réussir à obtenir les plans des souterrains, qui ne se transmettaient qu’entre initiées. Les photocopies de photocopies à peine lisibles faisaient notre bonheur.

Les plans de l'époque, retrouvés récemment dans un de mes placards
Les plans de l’époque, retrouvés récemment dans un de mes placards

Urbex

Le plaisir de l’exploration urbaine m’est revenu quelques décennies plus tard, avec une vision plus esthétique que clandestine. La photographie numérique a aussi beaucoup participé à cette redécouverte. A force de photographier les choses étranges que l’on croise lors de ballades, on fini par se dire que l’exploration peut être l’objet même de la promenade. L’urbex, à proprement parler, date pour moi d’il y a seulement trois ou quatre ans, et je me décide enfin en 2016 à publier les photos et raconter mes aventures.

Les expériences sont souvent étonnantes, la surprise provoque l’émerveillement, et l’on ressent de nombreuses émotions lors d’une visite d’un bâtiment abandonné. Le silence surprend toujours.

Une autre dimension de l’urbex concerne l’histoire même des lieux visités, et l’on se retrouve à se documenter avant et après le voyage. À chercher à comprendre ce qui a pu se passer, qui étaient les propriétaires, de quand date l’abandon…

Les fans d’urbex sont comme tous les passionnés, affables et généralement loquaces. Que ce soit virtuellement sur Twitter et les forums, ou dans la vraie vie comme Greg croisé dans le village fantôme de Bodie, Tim rencontré lors d’une séance de dédicaces, et bien d’autres.

La fac de 12h02
La fac de 12h02 en 2016
La station endormie
La station endormie en 2016
Un entrepot détruit en 2014.
L’entrepôt au manège clandestin de 2014 à 2016
Le village fantôme de Bodie, pas tout à fait de l'urbex
La ville fantôme de Bodie en 2015, pas tout à fait de l’urbex

L’urbex est régi par quelques règles à respecter. Il ne faut rien forcer ni casser, laisser l’endroit en l’état, ne rien emporter ou voler, et enfin ne pas communiquer l’emplacement des lieux pour éviter d’attirer les casseurs, pilleurs, voleurs de métaux, etc. Il y a aussi quelques dangers, et il faut être particulièrement attentif à l’état des sols, planchers, escaliers, toitures, évidemment ne jamais partir seul et s’équiper en conséquence, avec au minimum des chaussures de marche, un téléphone, une lampe, de l’eau…

Si vous voulez en savoir plus, je vous recommande le très récent livre de Timothy Hannem et son site Glauqueland, ou encore Urbex Element, Urbex.me, Urbex Session, Forbidden Places… mais il y en a tellement.

Dédicace du livre Urbex par Timothy Hannem
Dédicace du livre Urbex par Timothy Hannem, parce qu’il dessine en plus !

Crédits Photos : © Sébastien Mougey, à l’exception de celles des carrières souterraines qui proviennent de www.datacombes.com

Catégorie(s) : Photographies, Urbex 1 commentaire

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