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Jeu – Untitled Goose Game

1 décembre 2019Laisser un commentaire

Quand les Français transforment les oies en rillettes, les Australiens les utilisent pour empoisonner les humains !

Ce « jeu sans titre » vient d’une idée un peu barrée de développeurs australiens, les créateurs du studio House House. Le projet a été suivi et édité par Panic Inc., une société qui résonne particulièrement dans mon cœur de fanboy Apple et qui se diversifie depuis quelques années dans les jeux vidéo. Après Firewatch en 2016 et ce Goose Game en 2019, ils devraient sortir leur étrange console portable en début d’année prochaine, la Playdate.

Sans oie ni loi !

Résumer Untitled Goose Game en quelques mots est assez simple, le but est d’emmerder le plus possible les habitants d’un petit village. Et rien de mieux que d’incarner une oie vicieuse, voleuse et bruyante pour y arriver. Le résultat est tout simplement jouissif.

Tout le jeu se fait en vue objective avec des angles de caméra qui varient en fonction du lieu, des rues du village, des bâtiments. Un peu typé sandbox, le jeu est non linéaire et les missions vont tout miser sur l’imagination et la créativité du joueur, afin d’ennuyer un fermier, des commerçants, restaurateurs ou encore des enfants peureux. Si le village est réparti en plusieurs zones, les déplacements se font sans chargement et donnent l’impression d’une grande carte. Quand un certain nombre d’objectifs sont réalisés sur une zone, l’accès au niveau suivant est alors possible, des portes et passages s’ouvrent. Votre oie reste cependant toujours libre de continuer à «s’occuper» des personnages de la zone, d’avancer ou même de revenir en arrière via d’autres passages qu’elle peut alors débloquer.

On pense immanquablement aux jeux d’infiltration avec Untitled Goose Game, mais le thème est pour une fois bien plus fun et léger. Pas de Ninja cher à MGS ou de Zombie, on ne compte pas ses munitions restantes, mais plutôt tout ce que l’on arrive à voler et transporter dans un coin reculé de la ville, tel le trésor d’une pie… ou d’une oie. Mais contrairement à la majorité des jeux d’infiltration, il n’y a pas de boss à battre en fin de niveau, juste une énigme plus complexe, l’apogée de l’agacement des villageois. Ils ne manqueront d’ailleurs pas de réagir et finiront par planter un panneau «Interdit aux oies» que vous vous empresserez d’arracher.

La musique est une pépite à part entière ! Basée sur les préludes de Debussy, elle évolue en fonction du comportement de l’oie et des humains. Un personnage s’énerve, tourne en rond, est bloqué ? Le thème de piano s’adapte, se répète, nerveux, il encourage l’oie à continuer. A l’inverse, la musique devient douce et posée quand l’oie avance cachée, jusqu’à ce que vous décidiez de rompre ce calme d’une pression sur une touche… …et pousser un cri pour surprendre votre adversaire. On devrait d’ailleurs écrire «cacarder», le terme exact que tous les joueurs vont finir par connaître avec ce jeu.

Après quatre heures de plaisir vicieux, l’oie peut être fière d’apparaître au générique de fin. Elle a terminé son premier run dans le village et découvre une nouvelle série de missions qui prolongent la durée du jeu.

Disponible sur PC et Switch, Untitled Goose Game a réussi l’exploit de se placer en première position de nombreux stores Nintendo lors de sa sortie, devant Zelda Link’s Awakening, ce qui est un beau succès pour un jeu indé. On est fans de son côté absurde, barré, et de cette petite oie que rien n’arrête.

Aucune oie n’a été maltraitée lors de la rédaction de cet article, mais des humains, si…

Cet article a été initialement publié sur polygamer.com.

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Urbex – «Le manoir de l’Homme au ballon»

14 novembre 2019Laisser un commentaire

Visite d’un manoir Normand qui a eu plusieurs vies, de la colonie de vacances au centre de désintoxication, pour finir aujourd’hui à l’abandon…

Cela faisait presque deux ans que je n’avais pas fait d’Urbex, en dehors de quelques coups d’œil furtifs au travers de fenêtres de bâtiments désaffectés. Deux ans sans le plaisir de l’exploration, de la découverte, de la surprise, jusqu’au week-end dernier !

Au détour d’une balade en Normandie, nous passons devant un grand manoir qui semble abandonné. Aucune barrière ne ferme le terrain et il est impossible de résister à la tentation, de ne pas nous en approcher, tant le bâtiment est beau. Nous le contournons, mais comme nous sommes en famille et que je n’ai aucune idée de son état intérieur et des risques, je préfère ne pas y entrer. En tous cas pas tout de suite…

Par chance, un copain avec qui j’ai déjà visité la Fac de 12h02 et une des explorations de l’Entrepôt au manège clandestin est aussi dans la région, et nous décidons de nous y retrouver le lendemain matin.

Nous commençons par visiter le rez-de-chaussée. Je m’attends à découvrir un grand escalier central et c’est finalement un petit escalier sur le coté qui dessert chaque niveau, rendant les couloirs immenses. Si une grande porte en bois a résisté aux dégradations, les pièces sont en partie taguées. Toutes les fenêtres sont obstruées et le soleil éclaire faiblement l’espace.

De multiples traces de travaux plus ou moins récents sont visibles en arrivant au premier étage. L’espace est étrangement divisé en de nombreuses petites pièces et certaines sont recouvertes de Placo brut, des gaines électriques pendent, vides de tous câbles. Les fenêtres sont neuves mais leurs vitres détruites. On a l’impression d’être face à un chantier à peine commencé et déjà abandonné.

Un détail attire mon attention, le carrelage d’une pièce est découpé pour dessiner un « homme au ballon ». Le béton apparait au travers et semble avoir été coloré, le jaune du ballon est encore vif et on devine du rouge et du bleu.

L’escalier qui mène au dernier étage a été partiellement brulé, mais ne semble pas dangereux. Nous pouvons y monter et découvrir des pièces dans lesquelles le plancher a totalement disparu. Une fougère pousse dans un coin et la vue sur le sémaphore et la mer est superbe.

Nous finissons par le sous-sol et ressortons du manoir. Des petits bâtiments couverts de tags et de végétation sont visibles sur le coté, mais ce sera peut-être pour une prochaine visite.

Histoire

S’il est difficile de trouver la date de construction de ce manoir et ses premiers habitants, son histoire devient plus connue à partir de la fin de la première guerre mondiale. Il a servi pendant 50 ans de colonie de vacances pour les enfants de mineurs des Houillères du bassin Nord-Pas-de-Calais et des bâtiments annexes servaient de dortoirs.

Il a ensuite été racheté dans les années 1970 pour devenir un centre de désintoxication. L’association qui gérait ce manoir avait des dizaines d’autres centres dans le monde, mais son fonctionnement obscur, des malversations financières et des dérives sectaires ont finalement provoqué sa chute. L’étrange motif d’homme au ballon creusé dans le carrelage est en fait le logo d’une des branches de cette association.

Abandonné depuis les années 2000, le manoir se dégrade petit à petit. La mairie a demandé son classement en 2016…

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Cliquez sur une photo pour accéder à la galerie…

Pour voir tous les articles sur le thème Urbex

Crédits Photos : © Sébastien Mougey, à l’exception de la carte postale et du logo de l’association

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Escape Game – «Menace Soviétique» Escape Agency

2 novembre 2019Laisser un commentaire

Grande puissance nucléaire à l’époque de la guerre froide, l’ex URSS renferme encore de nombreux secrets, dont certains disséminés en Europe de l’ouest.

Si les créateurs d’Escape Games sont généralement eux-mêmes joueurs et curieux, ils sont parfois tellement débordés qu’ils ne pensent même pas à ouvrir toutes les portes de leurs locaux. Sans doute trop occupés à contrer le machiavélique Dr Kang, il aura fallu plus de 3 ans à The Escape Agency pour avoir la curiosité d’ouvrir la porte de leur sous-sol et réaliser qu’il renfermait quelque chose d’assez exceptionnel.

Le soir de notre visite, Guillaume nous présente enfin leur découverte, une base soviétique secrètement installée dans Paris pendant la guerre froide et abandonnée depuis. Un passage secret y mène et coïncidence troublante, un événement de la plus haute importance requiert notre présence.

Menace Soviétique

Un ancien centre de commandement de l’URSS a été réactivé en Crimée et quelqu’un essaie de l’utiliser pour lancer les missiles nucléaires encore actifs. Nous devons tenter de le contrer depuis Paris et sauver le monde d’une probable tempête nucléaire…

La base est donc secrètement cachée dans une cave voûtée du quartier. Les décors sont bruts, entre la pierre de la cave et le métal des portes, agrémentés de quelques drapeaux et affiches à la gloire de l’URSS, tout le charme soviétique est là. Les équipements semblent à l’arrêt depuis plus de 30 ans et toutes les inscriptions et manuels sont en cyrillique. Fylo se précipite et enfile le premier costume de militaire, mais cela ne nous aide malheureusement pas dans la compréhension du russe.

Les lieux me font penser à un Escape Game « new-old-school ». Comme dans les salles de 2014 ou 2015, les murs sont recouverts de mécanismes qui invitent immédiatement au jeu et nous attirent, sauf qu’ils gagnent la crédibilité et la technologie de 2019. Si les salles récentes font souvent le pari de l’intégration des mécanismes et les dévoilent au fur et à mesure de l’histoire, ce n’est pas le cas ici. Le résultat est déstabilisant pour les joueurs instinctifs que nous sommes, nous n’avons qu’une envie, nous précipiter et essayer un après l’autre chaque mécanisme. Nous en oublions forcément le brief initial, et notre GM nous rappelle plusieurs fois que nous devons impérativement trouver un moyen de relier la base parisienne avec l’URSS.

Ces différents équipements sont tous d’époque, ou reproduisent parfaitement le style des années 70 ou 80. On ne trouve pas de LED ou d’écran LCD, mais des ampoules, des tubes cathodiques et des téléphones à cadran. Les mécanismes qu’ils renferment sont bien évidemment beaucoup plus modernes, sous une apparence préservée, et le plaisir ludique est bien là.

Trois niveaux de difficulté existent pour cette Menace Soviétique et l’enseigne nous a gâtés en choisissant pour nous « Mégalomane ». Si bien qu’entre tous les mécanismes qui nous font perdre la tête et la difficulté, notre début est assez chaotique. Le GM nous envoie beaucoup de messages et nous arrivons finalement à comprendre les enchaînements et à progresser. Comme souvent, notre équipe se réveille sur la seconde partie de l’aventure et le rythme s’accélère. Plusieurs énigmes déclenchent de belles surprises, des effets waouh qui nous font encore perdre un peu de temps, nous sommes comme des enfants subjugués par un feu d’artifice.

Le dernier mécanisme permet le désamorçage des missiles, et demande à la fois de la concentration, du travail d’équipe et une bonne gestion du stress, ce dont nous manquons cruellement après presque 70 minutes de jeu. Nous arrivons enfin à le désactiver, à 28 secondes de la fin, et nous remarquons seulement à ce moment l’ambiance sonore qui participait à la pression et l’immersion.

La Menace Soviétique est une excellente salle, très dense et éprouvante. Il ne faut pas craindre de choisir le niveau « novice » qui ne réduit pas le nombre d’épreuves. Vous ne passerez donc pas à coté de certains mécanismes, vous aurez juste un peu plus de temps ou besoin d’un peu moins de précision pour les réussir.

Cet article a été initialement publié sur polygamer.com, vous pourrez y retrouver les avis des autres membres de l’équipe.
Plus d’informations sur cette salle sur le site de Escape Agency.

Retrouvez tous nos articles Escape Games, nos avis et conseils sur Paris, la liste complète des enseignes et salles de Paris/IDF et les taux de réussite.

Crédits Photos : © Escape Agency

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Le trac du Podcast !

18 octobre 2019Laisser un commentaire

Participer à un podcast est une étrange expérience, à la fois excitante et déstabilisante, d’autant plus quand on a l’habitude de l’écrit.

L’écriture d’article pour la presse papier, en ligne ou même pour les blogs, est un exercice relativement calme et posé. On organise ses idées, rédige, corrige, reformule, améliore son texte jusqu’à l’obtention de quelque chose que l’on juge abouti, puis on le publie. La pression peut venir des délais, de l’urgence du bouclage, mais pas de la rédaction en elle-même.

A l’inverse, le podcast s’apparente à la radio et son instantanéité. La majorité des podcasts est réalisée dans les conditions du direct, les échanges entre les intervenants se font en « live » et il n’est pas possible de revenir sur un sujet une fois l’enregistrement terminé, pour le compléter ou le corriger. Lors du montage, le réalisateur peut couper les blancs, les hésitations et quelques phrases sans intérêt, mais rarement faire plus.

Après des années de presse et de blogs, je me suis retrouvé à trois reprises à enregistrer des podcasts, et à chaque fois mon ressenti était le même. Les sujets étaient autour des Escape Games, une passion qui commence à durer, mais je ne connaissais ni les questions, ni les thématiques qui allaient être abordées, et ma préparation ne pouvait donc qu’être succincte. Nous étions de trois à cinq intervenants, tous avec une farouche envie de parler et défendre nos idées. À chaque participation, l’enregistrement a provoqué un stress étonnant, presque à trembler en tenant le micro, suivi de nombreux regrets quand je réalisais que j’avais oublié certains éléments de réponse, que j’aurais pu approfondir plus un sujet. Ce n’est que quelques semaines plus tard, lors de la diffusion du podcast et de mon écoute du résultat, que je ressentais enfin un soulagement et une grande joie qui effaçait le stress initial.

Mais pourquoi recommencer alors ? Car cette pression est finalement bénéfique, elle s’apparente sans doute à du trac et le résultat en vaut la peine. L’exercice viendrait d’ailleurs presque à me manquer…

[EDIT]Ajout de mon interview dans l’émission Coulisses sur France Inter, même si ce n’est pas un podcast, ajout des podcasts de 2020, ajout de Already Flashed, ajout de Silence on Joue de l’été 2025.

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Silence on Joue, Hors-Série Été 2025, épisode 4

Enregistré le 2 juillet 2025, diffusé le 8 août 2025, réalisé par Erwan Cario – Libération.
Sur Acast, Apple Podcast et Spotify…

Already Flashed

A partir de juillet 2020, réalisé par Sébastien Mougey.
Les deux réalisations des podcasts Polygamer m’avaient mis l’eau à la bouche, et un an plus tard j’ai recraqué sur un nouveau podcast. Already Flashed a pour sujet les mosaïques du street artiste Invader et sur FlashInvaders.

Polygamer n°2

Enregistré le 10 mai 2020, réalisé par Sébastien Mougey.
Sur Soundclound, Apple Podcast, Spotify et sur Polygamer…

EscapeCast n°12

Enregistré le 8 avril 2020, réalisé par François Touchard.
Sur Soundclound, Apple Podcast et Spotify…

Polygamer n°1

Enregistré le 5 avril 2020, réalisé par Sébastien Mougey.
Sur Soundclound, Apple Podcast, Spotify et sur Polygamer…

Emission Coulisses – France Inter

Enregistrée le 2 mars 2020, Alexandra Ackoun.
Sur Apple Podcast et sur le site de France Inter…

EscapeCast n°9

Enregistré le 23 septembre 2019, réalisé par François Touchard.
Sur Soundclound, Apple Podcast et Spotify…

EscapeCast n°3

Enregistré le 11 mai 2019, réalisé par François Touchard.
Sur Soundclound, Apple Podcast et Spotify…

PlayTime n°53

Enregistré en le 14 septembre 2017, réalisé par Flavien M.
Sur Soundclound, Apple Podcast et Kultur & Konfitur…

Crédits Photos : © Sébastien Mougey, issue de l’enregistrement d’EscapeCast n°3

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Escape Game – «L’affaire des mannequins» Live Thriller

21 septembre 2019Laisser un commentaire

Quand un tueur en série rôde dans Paris et déjoue les investigations des meilleurs inspecteurs, il faut au moins notre équipe pour résoudre cette enquête grandeur nature.

Nous étions tentés par le Live Thriller dès l’été 2018, mais il nous aura finalement fallu plus d’un an pour nous décider. Si comme beaucoup d’équipes, la raison la plus évidente devrait être la peur, nous devons avouer qu’elle est beaucoup plus bête, ce jeu nous était complètement sorti de la tête. Même si par certains côtés le Live Thriller se rapproche des Escape Games, nous ne l’avions pas référencé pour autant dans notre base de données de salles et notre article sur les taux de réussite. Mais après avoir vécu cette étonnante expérience, nous pouvons confirmer qu’il y a toute sa place et réparer cet oubli !

Le rendez-vous est fixé un soir d’aout avec l’inspecteur adjoint Gambale, quelque part dans une rue du XVIIIè arrondissement de Paris. Il nous accompagne jusqu’à sa planque qui renferme une grande partie des éléments d’une enquête en cours…

Live Thriller, L’affaire des mannequins

Un tueur en série fait disparaître ses victimes et les remplace par de macabres mise en scènes de mannequins. L’enquête piétine depuis des années et seul un regard neuf, le nôtre, pourrait permettre de progresser.

Notre premier contact avec l’histoire est cette planque dont les murs sont recouverts de photos, d’anciens articles sur les disparitions, de fiches signalétiques. Gambale nous teste un peu, puis part sur une autre mission sans doute plus urgente. L’aventure commence alors réellement, et s’enchainent une succession d’événements entre le cinéma, le théâtre immersif et l’Escape Game. Le role play est évidement présent, c’est même la base de cette enquête grandeur nature.

Alors que nous fouillons la planque, un film est subitement projeté sur un des murs et présente le début de l’histoire, les inspecteurs Nils et Gambale, les victimes, les mannequins. Ceci arrivera à plusieurs moments clés, comme des scènes cinématiques d’un jeu vidéo. La qualité de la réalisation, la photo et le jeu d’acteur sont surprenants, bien au dessus de ce que nous voyons habituellement dans le milieu de l’Escape Game.

Notre talkie-walkie résonne, un individu suspect est repéré dans les environs, c’est le moment de quitter la planque. Nous parcourons le quartier, entrons dans différents lieux formidablement décorés, totalement crédibles et glaçants. Des musiques renforcent l’immersion et le coté cinématographique de l’aventure.

La peur n’est jamais loin, quand nous progressons en file indienne dans des couloirs sombres et étroits, aucun joueur de notre équipe ne veut être ni premier, ni dernier ! Un des lieux me donne l’impression d’avoir mon casque VR sur la tête et de jouer à Resident Evil 7, le décor est glauque, stressant et je m’attends presque à voir sortir un zombie d’une porte. Il faut reprendre nos esprits, ce n’est qu’une enquête criminelle sur un tueur en série psychopathe…

Le rapprochement avec les Escape Games se fait par la fouille, les manipulations et les quelques énigmes. Nous n’avons jamais à réfléchir intensément, ce qui ne serait de toutes façons pas vraiment faisable, vu notre état évidemment calme et serein.

Après 2h30 d’aventure, un final épique se déroule devant nos yeux. Nos différentes actions tout au long de l’enquête nous permettent d’accéder à une fin que nous pensons être la plus « heureuse ». Quatre fins sont ainsi prévues dans le scénario, mais nous n’arrivons pas à obtenir beaucoup plus d’informations sur les variations de l’histoire.

Nous retrouvons Geoffrey et Alexandre, les comédiens/GM qui nous ont accompagnés dans ce Live Thriller et pouvons débriefer l’aventure directement dans les décors. Sous un éclairage normal, les lieux apparaissent d’un coup moins stressants. Ce sont les mêmes comédiens qui nous ont suivis pendant les 2h30 de jeu, jouant formidablement bien les différents rôles et les improvisations liées à nos réactions. Pendant ce temps, d’autres acteurs s’occupaient des équipes suivantes, ce qui nécessite une organisation complexe et pas moins de 24 comédiens.

Cette aventure très originale laisse le souvenir d’un moment un peu exceptionnel. Son prix est beaucoup plus élevé qu’un Escape Game classique, mais la durée de jeu, les comédiens, les différents espaces sur plus de 250m2 le justifient pleinement. Et les sensations qu’elle procure sont incomparables. Même pas peur !

Cet article a été initialement publié sur polygamer.com, vous pourrez y retrouver les avis des autres membres de l’équipe.
Plus d’informations sur cette salle sur le site de The Live Thriller.

Retrouvez tous nos articles Escape Games, nos avis et conseils sur Paris, la liste complète des enseignes et salles de Paris/IDF et les taux de réussite.

Crédits Photos : © The Live Thriller

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Escape Game – «Nautilus, l’expédition Aronnax» Unleash Escape

24 août 2019Laisser un commentaire

D’après un étrange manuscrit, le Nautilus ne serait pas un sous-marin de fiction, mais existerait bel et bien, quelque part au large de l’atlantique sud.

Parfois, l’expérience d’un Escape Game est tellement forte qu’elle nous oblige à bousculer notre planning. Nous n’avons plus alors qu’une urgence en tête, raconter, partager, faire sortir de notre cerveau cette aventure pour enfin pouvoir revivre normalement. Vous nous trouverez sans doute un peu excessifs dans la suite de cet article, mais ce sera encore en dessous de ce que nous a fait vivre la mission Aronnax…

Après 17 mois de travaux et plusieurs mois de beta tests, Unleash Escape a ouvert sa première aventure à l’été 2019. En dehors des infos du site et de quelques échanges avec Loïc, le créateur, nous n’avons aucune idée de ce qui nous attend. D’autant que la lecture de Vingt mille lieues sous les mers remonte pour nous au moins au siècle dernier.

Notre GM nous conte l’aventure de Louis Aronnax, fils du héros de Jules Verne. L’histoire est très présente, et nous apprenons qu’Unleash a pour objectif dans ses aventures de pousser la narration, afin que l’histoire ne soit pas un simple alibi aux énigmes. Nous le suivons devant l’entrée de la salle, et derrière lui se trouvent à la fois une simple porte et un étrange autre accès. Nous n’écoutons alors plus rien, totalement focalisés, obnubilés par ce que nous venons de remarquer, en espérant que ce ne soit pas un élément de décor…

Nautilus, l’expédition Aronnax

A la mort de Pierre Aronnax, biographe du capitaine Némo, son fils découvre dans le manuscrit original un plan du Nautilus et des coordonnées. Il monte une expédition dont nous faisons partie, et après de longues journées en mer nous abordons enfin le sous-marin.

Les premières secondes de l’aventure nous mettent dans un état d’excitation assez rarement atteint dans un Escape Game. A chaque fois que nos regards se croisent, on découvre dans les yeux de l’autre un mélange d’émerveillement enfantin et d’incrédulité ! Les décors sont simplement inimaginables et les quelques photos de cet article ne seront pas suffisantes pour que vous vous représentiez le résultat. Le moindre centimètre du sous-marin est décoré, chaque nouvelle pièce est plus belle et incroyable que la précédente. Le métal est omniprésent, des lourdes portes jusqu’aux étranges mécanismes des serrures murales. Le nombre d’or n’est pas loin…

Si nous sommes généralement assez peu sensibles à la perfection de la cohérence scénaristique et ludique, nous ne pouvons cette fois qu’en remarquer le travail et ce que cela procure. L’histoire étant très forte et présente, l’inverse aurait d’ailleurs sans doute été pour une fois gênante. Les énigmes sont donc dans le thème et surtout parfaitement dans le déroulé de l’histoire que nous raconte Unleash. La salle n’étant absolument pas linéaire, nous avons soit eu la chance de progresser dans le bon ordre, soit le scénario est parfaitement conçu et maitrisé pour s’adapter aux actions des joueurs.

Les énigmes sont belles, certains mécanismes presque poétiques, et l’on aimerait pouvoir tout faire, tout toucher, tout actionner. La densité du jeu impose néanmoins que notre équipe se répartisse et travaille simultanément. Quand certains peuvent voir un immense mécanisme prendre vie, d’autres peuvent rencontrer un poulpe ! J’ai pour ma part la chance d’actionner un casse-tête et de vivre un superbe voyage dans les bras de Morphée.

L’équipe doit aussi parfois savoir se retrouver pour partager ses découvertes, comme dans tout Escape Game, mais aussi collaborer pour faire face aux caprices du sous-marin. Et cet espace à la fois clos et immense est le théâtre de nombreux rebondissements, de courses, d’aller-retour qui en font une aventure mémorable, rythmée par l’histoire et les échanges avec Conscience, l’assistant d’Aronnax.

L’aventure est calibrée pour 75 minutes et nous quittons le Nautilus au bout de 65 minutes, presque à regret, nous aimerions y rester encore et encore. Le debrief se passe avec Loïc à la fois dans le sous-marin et à l’accueil, puis entre Polygamer dans la rue, par messenger dans la nuit, devant une bière le lendemain, nous n’arrivons pas à nous sortir cette aventure de la tête.

Après tant de compliments, vous comprendrez que l’on classe à l’unanimité Nautilus l‘expédition Aronnax dans nos incontournables. Cette salle mériterait presque que l’on ajoute une nouvelle catégorie, encore plus haut dans le classement !

Cet article a été initialement publié sur polygamer.com, vous pourrez y retrouver les avis des autres membres de l’équipe.
Plus d’informations sur cette salle sur le site de Unleash Escape.

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Crédits Photos : © Unleash Escape

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Territoire du nord

10 août 2019Laisser un commentaire

Un croisement entre Ayers Rock et Kings Canyon, en Australie.

· 28/07/2018 · Australie
· Olympus E-M1mk2 · 12 mm (equ 24) · 1/640 s · ƒ/9 · 200 ISO
· © Sébastien Mougey · Tous droits réservés · All rights reserved
· Sur 500px

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Escape Game – «Ferrailleurs de l’Espace» Immersia

20 juillet 2019Laisser un commentaire

Le Steampunk est une sorte d’aimant auquel nous ne résistons généralement pas longtemps. Quand le nouvel Escape Game d’une de nos enseignes favorites est un vaisseau spatial plein de vapeur et de métal cuivré, nous ne pouvons qu’accourir !

Si vous avez lu nos précédents articles sur la Mission Evolvis et le Temple Perdu de Cthulhu, vous devez maintenant savoir qu’Immersia est une de nos enseignes préférées de Paris, aux côtés de One Hour ou la Lock Academy. En plus de la qualité de leurs salles, ils ont parfaitement compris que les énigmes et les décors n’étaient plus les seuls éléments d’un Escape Game et que les GM avaient aussi un rôle très important à jouer…

Dès l’entrée en matière, cela se ressent avec une de leurs spécialités, les briefs d’introduction les plus long et passionnés du monde. Assez étrangement, alors que nous n’écoutons vraiment jamais rien lors des briefings, chez eux nous sommes rapidement captivés et presque attentifs. Une autre spécialité d’Immersia est le Role Play, ce petit plus qui transforme le jeu en une aventure immersive mémorable, pour peu que les joueurs se laissent emporter. Et justement, nous avions adoré ça quand nous étions les résistants d’Evolvis et nous sommes prêts à affronter notre GM, Vivien, ou plutôt l’étrange capitaine loufoque Vivienor.

Les ferrailleurs de l’espace

Résumer en quelques lignes la mise en place des Ferrailleurs de l’Espace est infaisable, mais il y a en vrac les Shawans, un peuple presque disparu, accompagné des Noxus, un autre peuple bien plus agressif qui leur a piqué toutes leurs avancées technologiques. Nous incarnons une équipe de navigateurs de l’espace, à moitié voleurs et receleurs, et devons accessoirement remplir une mission liée à un arbre de vie que nous oublierons dès l’entrée dans le vaisseau…

Notre navette Steampunk est de toute beauté et fait partie des décors pour lesquels nous aimerions ne pas avoir de chrono, afin d’en observer la construction et les détails. Nous entrons directement dans le poste de pilotage, une version spatialisée et modernisée du Nautilus. Au milieu du métal cuivré, des boulons, tuyaux et grilles, trônent quelques écrans qui apportent une touche de modernité aux machines à vapeur, et permettent d’avoir des vues de l’extérieur du vaisseau.

De nombreux équipements sont inactifs, et s’ils donnent un petit aperçu de la quantité d’énigmes que nous aurons à résoudre, ils ne se dévoilent pas pour autant entièrement. Une partie du poste de pilotage est en effet dédiée à la répartition de l’énergie du vaisseau et nous ne pouvons donc pas alimenter toutes les pièces et appareils simultanément pour tout étudier ! Les énigmes sont globalement fluides, agréables et dans le thème. Les mécanismes un peu fous d’Immersia sont très fun à manipuler, à tel point que nous rejouerons même à certains pendant le debrief.

Si certains joueurs pouvaient parfois reprocher une trop grande simplicité des épreuves dans Evolvis, simplicité qui permettait de laisser une place importante au Role play et aux délires des GM, les Ferrailleurs est à l’inverse beaucoup plus travaillée. Les énigmes sont plus nombreuses et plus complexes, la salle doit donc pouvoir parfaitement fonctionner sans intervention des GM, pour des joueurs moins extravertis qui ne voudraient pas endosser de rôle. Ce n’est pas notre cas, et c’est habillés de nos combinaisons et équipés de nos lunettes bizarres que nous entrons dans nos personnages. Vivienor a compris que nous aimons ça et nous réserve beaucoup de surprises, ce capitaine est complétement cinglé ! La mission part dans tous les sens, et ses interventions font que notre jeu dépasse d’une minute notre durée de survie dans le vaisseau, mais nous sortons néanmoins victorieux.

Le seul petit reproche que nous pourrions formuler sur ces Ferrailleurs concerne la fin de jeu. Si la dernière épreuve est collaborative et stressante, elle se termine un peu brutalement et nous n’avons pas à nous échapper du vaisseau. La palme de la meilleure sortie d’un Escape Game reste donc pour le moment attribuée à Evolvis.

En dehors de ce détail, cette aventure est totalement réussie et confirme une fois de plus la qualité de cette enseigne.

Cet article a été initialement publié sur polygamer.com, vous pourrez y retrouver les avis des autres membres de l’équipe.
Plus d’informations sur cette salle sur le site de Immersia.

Retrouvez tous nos articles Escape Games, nos avis et conseils sur Paris, la liste complète des enseignes et salles de Paris/IDF et les taux de réussite.

Crédits Photos : © Immersia

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Escape Game – «Cocal-Cola» Hint Hunt

2 juillet 2019Laisser un commentaire

On pourrait passer notre pause du midi avec un Coca en terrasse, mais on préfère s’enfermer avec un Coca dans un sous-sol…

Si la première recette du Coca fut inventée en 1885 par un pharmacien d’Atlanta et la Coca-Cola Company créée en 1892, c’est la date de son arrivée en France en 1919 qui est retenue chez nous pour célébrer le centenaire de la marque. A cette occasion, de multiples événements devraient être organisés en 2019.

Le plus intéressant pour les joueurs que nous sommes est un Escape Game éphémère créé par Hint Hunt, l’enseigne historique parisienne, avec Coqs en pâte et Eludice. Nous ne jouons que rarement à ce type de jeux pour deux raisons, ce sont souvent des Chasses aux trésors nommées à tort Escape Games et les aventures sont généralement simplistes. Mais les superbes dernières salles de Hint Hunt, particulièrement leur Secret du Pirate, nous font espérer pour une fois une réussite et nous tentent bien.

Le point de rendez-vous met déjà dans l’ambiance, avec une entrée par une annexe du Palais de Tokyo, des gardiens de sécurité, un immense sous-sol presque vide et un monte-charge un peu branlant. On commence à se dire que cette faille temporelle est peut-être réelle ! Notre GM Thomas nous remet de nombreux équipements, et surtout une caméra d’inspection.

Escape Game Coca-Cola

Un étrange coffre inviolable de 1919 a été découvert lors de travaux. Nous devons partir au siècle dernier pour rassembler suffisamment d’informations et tenter de l’ouvrir.

Après quelques soucis du GM pour déclencher la première porte, notre voyage se passe bien et nous débarquons dans un très joli décor. Le niveau est assez étonnant pour un Escape éphémère, avec une vraie construction de l’espace de jeu et un travail sur le mobilier. Ceci se retrouvera d’ailleurs lors de toutes les époques visitées, car vous l’aurez compris, nous allons voyager tout au long des XXème et XXIème siècle au travers des dates importantes de Coca-Cola.

Les énigmes sont agréables, ludiques et basées sur de nombreux mécanismes cachés. Nous avançons d’époque en époque, et croisons même le père ou le grand père du GM. Le voyage dans le temps se fait à l’aide d’une tablette sur laquelle nous devons entrer la date de notre destination. Malheureusement, un gros bug bloque quasi systématiquement l’ouverture des portails temporels (qui ressemblent à des portes normales), et coupe toute la fluidité de l’aventure. Notre GM fini par entrer avec nous et essayer lui-même de débloquer une porte, jusqu’à abandonner et nous dire de continuer sans tablette… Un tout nouveau système de communication entre la tablette et les portails vient d’être installé, et visiblement mal calibré. Heureusement, depuis notre visite ce point a été corrigé.

La dernière pièce est sur un événement fort qui ravit Fylo et me laisse à l’inverse totalement de marbre, mais mon absence de goût pour cette étrange activité humaine n’est pas représentative et vous devriez l’aimer. Nous atteignons enfin le coffre-fort et les éléments récoltés permettent son ouverture. Il contient une surprise amusante et bien vue.

Il est difficile de juger cette salle à la fois promotionnelle et payante, même si Citroën ou Old el paso avaient déjà tenté ce pari. Bugs mis à part, elle serait très réussie pour un Escape Game gratuit, mais puisqu’elle est dans la même fourchette de prix que les salles non éphémères, nous préférons nettement un Secret du Pirate ou un Sous-marin de la même enseigne. Elle reste néanmoins une salle agréable pour faire un premier Escape Game.

Cet article a été initialement publié sur polygamer.com, vous pourrez y retrouver les avis des autres membres de l’équipe.
Plus d’informations sur cette salle sur le site de Hint Hunt.

Retrouvez tous nos articles Escape Games, nos avis et conseils sur Paris, la liste complète des enseignes et salles de Paris/IDF et les taux de réussite.

Crédits Photos : © Hint Hunt

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Jeu – Astro Bot, le meilleur jeu VR de la PS4 !

15 juin 2019Laisser un commentaire

Ce jeu de plates-formes hyper imaginatif prouve que la VR fonctionne aussi très bien pour les jeux à la troisième personne.

Après des mois à murir l’achat d’un PlayStation VR, j’ai fini par craquer à l’automne dernier. Dans mon esprit, certains titres paraissaient alors évidents comme Resident Evil 7 ou WipEout. Des jeux qui avaient tout pour une adaptation VR, les vues à la première personne semblaient être l’essence même de la réalité virtuelle. Jusqu’à ce qu’un mini jeu fourni avec le casque sème le doute, et si les jeux de plates-formes pouvaient aussi y trouver de l’intérêt ?

En deux ans d’existence du PS VR, plusieurs jeux de ce type avaient tenté le pari, dont le très réussi Moss. La voie était donc ouverte et les très nombreux échos positifs du mini Astro Bot finirent sans doute par convaincre Sony… La Rescue Mission pouvait devenir un jeu à part entière, et sortir en octobre 2018. Voici enfin presque 8 mois plus tard ce mini article que je gardais dans un coin de ma tête.

Astro Bot Rescue Mission

Votre personnage est un petit robot, seul rescapé d’une attaque d’Alien sur votre vaisseau spatial. Vos 160 autres copains robots se retrouvent éparpillés sur 5 planètes que vous devez visiter pour les sauver. Chaque planète est assez classiquement subdivisée en 4 niveaux et un boss final.

Plus de vue à la première personne ici, vous dirigez votre petit robot au pad, la caméra suit naturellement ses déplacements dans ce qui pourrait ressembler à un jeu de plates-formes 3D traditionnel. Mais une grande partie de l’intelligence du titre vient des angles de vue et de ce que la VR permet. Vous pouvez regarder en dessous, sur les côtés, avancer la tête pour dépasser le robot et voir le chemin à prendre, ou encore explorer de la tête le décor pour y trouver les robots à sauver. A l’inverse, dans certains niveaux la caméra peut devenir statique, ancrée en un point du décor, et c’est à vous de suivre le robot par vos mouvements de casque.

Les actions de votre personnage sont limitées aux déplacements, aux sauts et vol planés, et quelques coups de points sur les ennemis. Mais chaque monde va offrir un équipement supplémentaire, un grappin, une lampe torche, des shurikens ou encore une lance à eau qui renouvellent vos interactions. Le robot peut aussi interagir avec vous et vous faire comprendre que vos actions lui plaisent…

Les mondes sont très variés et plus on avance dans le jeu, plus l’imagination des créateurs surprend. Certains niveaux sont sous l’eau, d’autres en semi apesanteur dans l’air, et l’un des plus beaux est quasiment dans le noir. La lampe torche permet alors de révéler des plates-formes transparentes et sensibles à la lumière, magique ! Pour visiter l’ensemble des planètes, des niveaux et battre tous les boss, il faut compter 5 ou 6 heures de jeu, et même un peu plus si l’on veut sauver tous les robots et jouer à tous les défis.

Ce jeu est une très belle réinvention du genre que j’oserai comparer aux meilleurs Nintendo. Je ne suis sans doute pas vraiment objectif car fan des jeux de plates-formes, mais Astro Bot Rescue Mission est pour moi simplement un des meilleurs jeux VR de la PlayStation 4.

Cet article a été initialement publié sur polygamer.com.

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