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Le trac du Podcast !

18 octobre 2019Laisser un commentaire

Participer à un podcast est une étrange expérience, à la fois excitante et déstabilisante, d’autant plus quand on a l’habitude de l’écrit.

L’écriture d’article pour la presse papier, en ligne ou même pour les blogs, est un exercice relativement calme et posé. On organise ses idées, rédige, corrige, reformule, améliore son texte jusqu’à l’obtention de quelque chose que l’on juge abouti, puis on le publie. La pression peut venir des délais, de l’urgence du bouclage, mais pas de la rédaction en elle-même.

A l’inverse, le podcast s’apparente à la radio et son instantanéité. La majorité des podcasts est réalisée dans les conditions du direct, les échanges entre les intervenants se font en « live » et il n’est pas possible de revenir sur un sujet une fois l’enregistrement terminé, pour le compléter ou le corriger. Lors du montage, le réalisateur peut couper les blancs, les hésitations et quelques phrases sans intérêt, mais rarement faire plus.

Après des années de presse et de blogs, je me suis retrouvé à trois reprises à enregistrer des podcasts, et à chaque fois mon ressenti était le même. Les sujets étaient autour des Escape Games, une passion qui commence à durer, mais je ne connaissais ni les questions, ni les thématiques qui allaient être abordées, et ma préparation ne pouvait donc qu’être succincte. Nous étions de trois à cinq intervenants, tous avec une farouche envie de parler et défendre nos idées. À chaque participation, l’enregistrement a provoqué un stress étonnant, presque à trembler en tenant le micro, suivi de nombreux regrets quand je réalisais que j’avais oublié certains éléments de réponse, que j’aurais pu approfondir plus un sujet. Ce n’est que quelques semaines plus tard, lors de la diffusion du podcast et de mon écoute du résultat, que je ressentais enfin un soulagement et une grande joie qui effaçait le stress initial.

Mais pourquoi recommencer alors ? Car cette pression est finalement bénéfique, elle s’apparente sans doute à du trac et le résultat en vaut la peine. L’exercice viendrait d’ailleurs presque à me manquer…

[EDIT]Ajout de mon interview dans l’émission Coulisses sur France Inter, même si ce n’est pas un podcast, ajout des podcasts de 2020, ajout de Already Flashed, ajout de Silence on Joue de l’été 2025.

–

Silence on Joue, Hors-Série Été 2025, épisode 4

Enregistré le 2 juillet 2025, diffusé le 8 août 2025, réalisé par Erwan Cario – Libération.
Sur Acast, Apple Podcast et Spotify…

Already Flashed

A partir de juillet 2020, réalisé par Sébastien Mougey.
Les deux réalisations des podcasts Polygamer m’avaient mis l’eau à la bouche, et un an plus tard j’ai recraqué sur un nouveau podcast. Already Flashed a pour sujet les mosaïques du street artiste Invader et sur FlashInvaders.

Polygamer n°2

Enregistré le 10 mai 2020, réalisé par Sébastien Mougey.
Sur Soundclound, Apple Podcast, Spotify et sur Polygamer…

EscapeCast n°12

Enregistré le 8 avril 2020, réalisé par François Touchard.
Sur Soundclound, Apple Podcast et Spotify…

Polygamer n°1

Enregistré le 5 avril 2020, réalisé par Sébastien Mougey.
Sur Soundclound, Apple Podcast, Spotify et sur Polygamer…

Emission Coulisses – France Inter

Enregistrée le 2 mars 2020, Alexandra Ackoun.
Sur Apple Podcast et sur le site de France Inter…

EscapeCast n°9

Enregistré le 23 septembre 2019, réalisé par François Touchard.
Sur Soundclound, Apple Podcast et Spotify…

EscapeCast n°3

Enregistré le 11 mai 2019, réalisé par François Touchard.
Sur Soundclound, Apple Podcast et Spotify…

PlayTime n°53

Enregistré en le 14 septembre 2017, réalisé par Flavien M.
Sur Soundclound, Apple Podcast et Kultur & Konfitur…

Crédits Photos : © Sébastien Mougey, issue de l’enregistrement d’EscapeCast n°3

Classé sous :Geek et High-Tech, Une Laisser un commentaire

Escape Game – «L’affaire des mannequins» Live Thriller

21 septembre 2019Laisser un commentaire

Quand un tueur en série rôde dans Paris et déjoue les investigations des meilleurs inspecteurs, il faut au moins notre équipe pour résoudre cette enquête grandeur nature.

Nous étions tentés par le Live Thriller dès l’été 2018, mais il nous aura finalement fallu plus d’un an pour nous décider. Si comme beaucoup d’équipes, la raison la plus évidente devrait être la peur, nous devons avouer qu’elle est beaucoup plus bête, ce jeu nous était complètement sorti de la tête. Même si par certains côtés le Live Thriller se rapproche des Escape Games, nous ne l’avions pas référencé pour autant dans notre base de données de salles et notre article sur les taux de réussite. Mais après avoir vécu cette étonnante expérience, nous pouvons confirmer qu’il y a toute sa place et réparer cet oubli !

Le rendez-vous est fixé un soir d’aout avec l’inspecteur adjoint Gambale, quelque part dans une rue du XVIIIè arrondissement de Paris. Il nous accompagne jusqu’à sa planque qui renferme une grande partie des éléments d’une enquête en cours…

Live Thriller, L’affaire des mannequins

Un tueur en série fait disparaître ses victimes et les remplace par de macabres mise en scènes de mannequins. L’enquête piétine depuis des années et seul un regard neuf, le nôtre, pourrait permettre de progresser.

Notre premier contact avec l’histoire est cette planque dont les murs sont recouverts de photos, d’anciens articles sur les disparitions, de fiches signalétiques. Gambale nous teste un peu, puis part sur une autre mission sans doute plus urgente. L’aventure commence alors réellement, et s’enchainent une succession d’événements entre le cinéma, le théâtre immersif et l’Escape Game. Le role play est évidement présent, c’est même la base de cette enquête grandeur nature.

Alors que nous fouillons la planque, un film est subitement projeté sur un des murs et présente le début de l’histoire, les inspecteurs Nils et Gambale, les victimes, les mannequins. Ceci arrivera à plusieurs moments clés, comme des scènes cinématiques d’un jeu vidéo. La qualité de la réalisation, la photo et le jeu d’acteur sont surprenants, bien au dessus de ce que nous voyons habituellement dans le milieu de l’Escape Game.

Notre talkie-walkie résonne, un individu suspect est repéré dans les environs, c’est le moment de quitter la planque. Nous parcourons le quartier, entrons dans différents lieux formidablement décorés, totalement crédibles et glaçants. Des musiques renforcent l’immersion et le coté cinématographique de l’aventure.

La peur n’est jamais loin, quand nous progressons en file indienne dans des couloirs sombres et étroits, aucun joueur de notre équipe ne veut être ni premier, ni dernier ! Un des lieux me donne l’impression d’avoir mon casque VR sur la tête et de jouer à Resident Evil 7, le décor est glauque, stressant et je m’attends presque à voir sortir un zombie d’une porte. Il faut reprendre nos esprits, ce n’est qu’une enquête criminelle sur un tueur en série psychopathe…

Le rapprochement avec les Escape Games se fait par la fouille, les manipulations et les quelques énigmes. Nous n’avons jamais à réfléchir intensément, ce qui ne serait de toutes façons pas vraiment faisable, vu notre état évidemment calme et serein.

Après 2h30 d’aventure, un final épique se déroule devant nos yeux. Nos différentes actions tout au long de l’enquête nous permettent d’accéder à une fin que nous pensons être la plus « heureuse ». Quatre fins sont ainsi prévues dans le scénario, mais nous n’arrivons pas à obtenir beaucoup plus d’informations sur les variations de l’histoire.

Nous retrouvons Geoffrey et Alexandre, les comédiens/GM qui nous ont accompagnés dans ce Live Thriller et pouvons débriefer l’aventure directement dans les décors. Sous un éclairage normal, les lieux apparaissent d’un coup moins stressants. Ce sont les mêmes comédiens qui nous ont suivis pendant les 2h30 de jeu, jouant formidablement bien les différents rôles et les improvisations liées à nos réactions. Pendant ce temps, d’autres acteurs s’occupaient des équipes suivantes, ce qui nécessite une organisation complexe et pas moins de 24 comédiens.

Cette aventure très originale laisse le souvenir d’un moment un peu exceptionnel. Son prix est beaucoup plus élevé qu’un Escape Game classique, mais la durée de jeu, les comédiens, les différents espaces sur plus de 250m2 le justifient pleinement. Et les sensations qu’elle procure sont incomparables. Même pas peur !

Cet article a été initialement publié sur polygamer.com, vous pourrez y retrouver les avis des autres membres de l’équipe.
Plus d’informations sur cette salle sur le site de The Live Thriller.

Retrouvez tous nos articles Escape Games, nos avis et conseils sur Paris, la liste complète des enseignes et salles de Paris/IDF et les taux de réussite.

Crédits Photos : © The Live Thriller

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Escape Game – «Nautilus, l’expédition Aronnax» Unleash Escape

24 août 2019Laisser un commentaire

D’après un étrange manuscrit, le Nautilus ne serait pas un sous-marin de fiction, mais existerait bel et bien, quelque part au large de l’atlantique sud.

Parfois, l’expérience d’un Escape Game est tellement forte qu’elle nous oblige à bousculer notre planning. Nous n’avons plus alors qu’une urgence en tête, raconter, partager, faire sortir de notre cerveau cette aventure pour enfin pouvoir revivre normalement. Vous nous trouverez sans doute un peu excessifs dans la suite de cet article, mais ce sera encore en dessous de ce que nous a fait vivre la mission Aronnax…

Après 17 mois de travaux et plusieurs mois de beta tests, Unleash Escape a ouvert sa première aventure à l’été 2019. En dehors des infos du site et de quelques échanges avec Loïc, le créateur, nous n’avons aucune idée de ce qui nous attend. D’autant que la lecture de Vingt mille lieues sous les mers remonte pour nous au moins au siècle dernier.

Notre GM nous conte l’aventure de Louis Aronnax, fils du héros de Jules Verne. L’histoire est très présente, et nous apprenons qu’Unleash a pour objectif dans ses aventures de pousser la narration, afin que l’histoire ne soit pas un simple alibi aux énigmes. Nous le suivons devant l’entrée de la salle, et derrière lui se trouvent à la fois une simple porte et un étrange autre accès. Nous n’écoutons alors plus rien, totalement focalisés, obnubilés par ce que nous venons de remarquer, en espérant que ce ne soit pas un élément de décor…

Nautilus, l’expédition Aronnax

A la mort de Pierre Aronnax, biographe du capitaine Némo, son fils découvre dans le manuscrit original un plan du Nautilus et des coordonnées. Il monte une expédition dont nous faisons partie, et après de longues journées en mer nous abordons enfin le sous-marin.

Les premières secondes de l’aventure nous mettent dans un état d’excitation assez rarement atteint dans un Escape Game. A chaque fois que nos regards se croisent, on découvre dans les yeux de l’autre un mélange d’émerveillement enfantin et d’incrédulité ! Les décors sont simplement inimaginables et les quelques photos de cet article ne seront pas suffisantes pour que vous vous représentiez le résultat. Le moindre centimètre du sous-marin est décoré, chaque nouvelle pièce est plus belle et incroyable que la précédente. Le métal est omniprésent, des lourdes portes jusqu’aux étranges mécanismes des serrures murales. Le nombre d’or n’est pas loin…

Si nous sommes généralement assez peu sensibles à la perfection de la cohérence scénaristique et ludique, nous ne pouvons cette fois qu’en remarquer le travail et ce que cela procure. L’histoire étant très forte et présente, l’inverse aurait d’ailleurs sans doute été pour une fois gênante. Les énigmes sont donc dans le thème et surtout parfaitement dans le déroulé de l’histoire que nous raconte Unleash. La salle n’étant absolument pas linéaire, nous avons soit eu la chance de progresser dans le bon ordre, soit le scénario est parfaitement conçu et maitrisé pour s’adapter aux actions des joueurs.

Les énigmes sont belles, certains mécanismes presque poétiques, et l’on aimerait pouvoir tout faire, tout toucher, tout actionner. La densité du jeu impose néanmoins que notre équipe se répartisse et travaille simultanément. Quand certains peuvent voir un immense mécanisme prendre vie, d’autres peuvent rencontrer un poulpe ! J’ai pour ma part la chance d’actionner un casse-tête et de vivre un superbe voyage dans les bras de Morphée.

L’équipe doit aussi parfois savoir se retrouver pour partager ses découvertes, comme dans tout Escape Game, mais aussi collaborer pour faire face aux caprices du sous-marin. Et cet espace à la fois clos et immense est le théâtre de nombreux rebondissements, de courses, d’aller-retour qui en font une aventure mémorable, rythmée par l’histoire et les échanges avec Conscience, l’assistant d’Aronnax.

L’aventure est calibrée pour 75 minutes et nous quittons le Nautilus au bout de 65 minutes, presque à regret, nous aimerions y rester encore et encore. Le debrief se passe avec Loïc à la fois dans le sous-marin et à l’accueil, puis entre Polygamer dans la rue, par messenger dans la nuit, devant une bière le lendemain, nous n’arrivons pas à nous sortir cette aventure de la tête.

Après tant de compliments, vous comprendrez que l’on classe à l’unanimité Nautilus l‘expédition Aronnax dans nos incontournables. Cette salle mériterait presque que l’on ajoute une nouvelle catégorie, encore plus haut dans le classement !

Cet article a été initialement publié sur polygamer.com, vous pourrez y retrouver les avis des autres membres de l’équipe.
Plus d’informations sur cette salle sur le site de Unleash Escape.

Retrouvez tous nos articles Escape Games, nos avis et conseils sur Paris, la liste complète des enseignes et salles de Paris/IDF et les taux de réussite.

Crédits Photos : © Unleash Escape

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Territoire du nord

10 août 2019Laisser un commentaire

Un croisement entre Ayers Rock et Kings Canyon, en Australie.

· 28/07/2018 · Australie
· Olympus E-M1mk2 · 12 mm (equ 24) · 1/640 s · ƒ/9 · 200 ISO
· © Sébastien Mougey · Tous droits réservés · All rights reserved
· Sur 500px

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Escape Game – «Ferrailleurs de l’Espace» Immersia

20 juillet 2019Laisser un commentaire

Le Steampunk est une sorte d’aimant auquel nous ne résistons généralement pas longtemps. Quand le nouvel Escape Game d’une de nos enseignes favorites est un vaisseau spatial plein de vapeur et de métal cuivré, nous ne pouvons qu’accourir !

Si vous avez lu nos précédents articles sur la Mission Evolvis et le Temple Perdu de Cthulhu, vous devez maintenant savoir qu’Immersia est une de nos enseignes préférées de Paris, aux côtés de One Hour ou la Lock Academy. En plus de la qualité de leurs salles, ils ont parfaitement compris que les énigmes et les décors n’étaient plus les seuls éléments d’un Escape Game et que les GM avaient aussi un rôle très important à jouer…

Dès l’entrée en matière, cela se ressent avec une de leurs spécialités, les briefs d’introduction les plus long et passionnés du monde. Assez étrangement, alors que nous n’écoutons vraiment jamais rien lors des briefings, chez eux nous sommes rapidement captivés et presque attentifs. Une autre spécialité d’Immersia est le Role Play, ce petit plus qui transforme le jeu en une aventure immersive mémorable, pour peu que les joueurs se laissent emporter. Et justement, nous avions adoré ça quand nous étions les résistants d’Evolvis et nous sommes prêts à affronter notre GM, Vivien, ou plutôt l’étrange capitaine loufoque Vivienor.

Les ferrailleurs de l’espace

Résumer en quelques lignes la mise en place des Ferrailleurs de l’Espace est infaisable, mais il y a en vrac les Shawans, un peuple presque disparu, accompagné des Noxus, un autre peuple bien plus agressif qui leur a piqué toutes leurs avancées technologiques. Nous incarnons une équipe de navigateurs de l’espace, à moitié voleurs et receleurs, et devons accessoirement remplir une mission liée à un arbre de vie que nous oublierons dès l’entrée dans le vaisseau…

Notre navette Steampunk est de toute beauté et fait partie des décors pour lesquels nous aimerions ne pas avoir de chrono, afin d’en observer la construction et les détails. Nous entrons directement dans le poste de pilotage, une version spatialisée et modernisée du Nautilus. Au milieu du métal cuivré, des boulons, tuyaux et grilles, trônent quelques écrans qui apportent une touche de modernité aux machines à vapeur, et permettent d’avoir des vues de l’extérieur du vaisseau.

De nombreux équipements sont inactifs, et s’ils donnent un petit aperçu de la quantité d’énigmes que nous aurons à résoudre, ils ne se dévoilent pas pour autant entièrement. Une partie du poste de pilotage est en effet dédiée à la répartition de l’énergie du vaisseau et nous ne pouvons donc pas alimenter toutes les pièces et appareils simultanément pour tout étudier ! Les énigmes sont globalement fluides, agréables et dans le thème. Les mécanismes un peu fous d’Immersia sont très fun à manipuler, à tel point que nous rejouerons même à certains pendant le debrief.

Si certains joueurs pouvaient parfois reprocher une trop grande simplicité des épreuves dans Evolvis, simplicité qui permettait de laisser une place importante au Role play et aux délires des GM, les Ferrailleurs est à l’inverse beaucoup plus travaillée. Les énigmes sont plus nombreuses et plus complexes, la salle doit donc pouvoir parfaitement fonctionner sans intervention des GM, pour des joueurs moins extravertis qui ne voudraient pas endosser de rôle. Ce n’est pas notre cas, et c’est habillés de nos combinaisons et équipés de nos lunettes bizarres que nous entrons dans nos personnages. Vivienor a compris que nous aimons ça et nous réserve beaucoup de surprises, ce capitaine est complétement cinglé ! La mission part dans tous les sens, et ses interventions font que notre jeu dépasse d’une minute notre durée de survie dans le vaisseau, mais nous sortons néanmoins victorieux.

Le seul petit reproche que nous pourrions formuler sur ces Ferrailleurs concerne la fin de jeu. Si la dernière épreuve est collaborative et stressante, elle se termine un peu brutalement et nous n’avons pas à nous échapper du vaisseau. La palme de la meilleure sortie d’un Escape Game reste donc pour le moment attribuée à Evolvis.

En dehors de ce détail, cette aventure est totalement réussie et confirme une fois de plus la qualité de cette enseigne.

Cet article a été initialement publié sur polygamer.com, vous pourrez y retrouver les avis des autres membres de l’équipe.
Plus d’informations sur cette salle sur le site de Immersia.

Retrouvez tous nos articles Escape Games, nos avis et conseils sur Paris, la liste complète des enseignes et salles de Paris/IDF et les taux de réussite.

Crédits Photos : © Immersia

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Escape Game – «Cocal-Cola» Hint Hunt

2 juillet 2019Laisser un commentaire

On pourrait passer notre pause du midi avec un Coca en terrasse, mais on préfère s’enfermer avec un Coca dans un sous-sol…

Si la première recette du Coca fut inventée en 1885 par un pharmacien d’Atlanta et la Coca-Cola Company créée en 1892, c’est la date de son arrivée en France en 1919 qui est retenue chez nous pour célébrer le centenaire de la marque. A cette occasion, de multiples événements devraient être organisés en 2019.

Le plus intéressant pour les joueurs que nous sommes est un Escape Game éphémère créé par Hint Hunt, l’enseigne historique parisienne, avec Coqs en pâte et Eludice. Nous ne jouons que rarement à ce type de jeux pour deux raisons, ce sont souvent des Chasses aux trésors nommées à tort Escape Games et les aventures sont généralement simplistes. Mais les superbes dernières salles de Hint Hunt, particulièrement leur Secret du Pirate, nous font espérer pour une fois une réussite et nous tentent bien.

Le point de rendez-vous met déjà dans l’ambiance, avec une entrée par une annexe du Palais de Tokyo, des gardiens de sécurité, un immense sous-sol presque vide et un monte-charge un peu branlant. On commence à se dire que cette faille temporelle est peut-être réelle ! Notre GM Thomas nous remet de nombreux équipements, et surtout une caméra d’inspection.

Escape Game Coca-Cola

Un étrange coffre inviolable de 1919 a été découvert lors de travaux. Nous devons partir au siècle dernier pour rassembler suffisamment d’informations et tenter de l’ouvrir.

Après quelques soucis du GM pour déclencher la première porte, notre voyage se passe bien et nous débarquons dans un très joli décor. Le niveau est assez étonnant pour un Escape éphémère, avec une vraie construction de l’espace de jeu et un travail sur le mobilier. Ceci se retrouvera d’ailleurs lors de toutes les époques visitées, car vous l’aurez compris, nous allons voyager tout au long des XXème et XXIème siècle au travers des dates importantes de Coca-Cola.

Les énigmes sont agréables, ludiques et basées sur de nombreux mécanismes cachés. Nous avançons d’époque en époque, et croisons même le père ou le grand père du GM. Le voyage dans le temps se fait à l’aide d’une tablette sur laquelle nous devons entrer la date de notre destination. Malheureusement, un gros bug bloque quasi systématiquement l’ouverture des portails temporels (qui ressemblent à des portes normales), et coupe toute la fluidité de l’aventure. Notre GM fini par entrer avec nous et essayer lui-même de débloquer une porte, jusqu’à abandonner et nous dire de continuer sans tablette… Un tout nouveau système de communication entre la tablette et les portails vient d’être installé, et visiblement mal calibré. Heureusement, depuis notre visite ce point a été corrigé.

La dernière pièce est sur un événement fort qui ravit Fylo et me laisse à l’inverse totalement de marbre, mais mon absence de goût pour cette étrange activité humaine n’est pas représentative et vous devriez l’aimer. Nous atteignons enfin le coffre-fort et les éléments récoltés permettent son ouverture. Il contient une surprise amusante et bien vue.

Il est difficile de juger cette salle à la fois promotionnelle et payante, même si Citroën ou Old el paso avaient déjà tenté ce pari. Bugs mis à part, elle serait très réussie pour un Escape Game gratuit, mais puisqu’elle est dans la même fourchette de prix que les salles non éphémères, nous préférons nettement un Secret du Pirate ou un Sous-marin de la même enseigne. Elle reste néanmoins une salle agréable pour faire un premier Escape Game.

Cet article a été initialement publié sur polygamer.com, vous pourrez y retrouver les avis des autres membres de l’équipe.
Plus d’informations sur cette salle sur le site de Hint Hunt.

Retrouvez tous nos articles Escape Games, nos avis et conseils sur Paris, la liste complète des enseignes et salles de Paris/IDF et les taux de réussite.

Crédits Photos : © Hint Hunt

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Jeu – Astro Bot, le meilleur jeu VR de la PS4 !

15 juin 2019Laisser un commentaire

Ce jeu de plates-formes hyper imaginatif prouve que la VR fonctionne aussi très bien pour les jeux à la troisième personne.

Après des mois à murir l’achat d’un PlayStation VR, j’ai fini par craquer à l’automne dernier. Dans mon esprit, certains titres paraissaient alors évidents comme Resident Evil 7 ou WipEout. Des jeux qui avaient tout pour une adaptation VR, les vues à la première personne semblaient être l’essence même de la réalité virtuelle. Jusqu’à ce qu’un mini jeu fourni avec le casque sème le doute, et si les jeux de plates-formes pouvaient aussi y trouver de l’intérêt ?

En deux ans d’existence du PS VR, plusieurs jeux de ce type avaient tenté le pari, dont le très réussi Moss. La voie était donc ouverte et les très nombreux échos positifs du mini Astro Bot finirent sans doute par convaincre Sony… La Rescue Mission pouvait devenir un jeu à part entière, et sortir en octobre 2018. Voici enfin presque 8 mois plus tard ce mini article que je gardais dans un coin de ma tête.

Astro Bot Rescue Mission

Votre personnage est un petit robot, seul rescapé d’une attaque d’Alien sur votre vaisseau spatial. Vos 160 autres copains robots se retrouvent éparpillés sur 5 planètes que vous devez visiter pour les sauver. Chaque planète est assez classiquement subdivisée en 4 niveaux et un boss final.

Plus de vue à la première personne ici, vous dirigez votre petit robot au pad, la caméra suit naturellement ses déplacements dans ce qui pourrait ressembler à un jeu de plates-formes 3D traditionnel. Mais une grande partie de l’intelligence du titre vient des angles de vue et de ce que la VR permet. Vous pouvez regarder en dessous, sur les côtés, avancer la tête pour dépasser le robot et voir le chemin à prendre, ou encore explorer de la tête le décor pour y trouver les robots à sauver. A l’inverse, dans certains niveaux la caméra peut devenir statique, ancrée en un point du décor, et c’est à vous de suivre le robot par vos mouvements de casque.

Les actions de votre personnage sont limitées aux déplacements, aux sauts et vol planés, et quelques coups de points sur les ennemis. Mais chaque monde va offrir un équipement supplémentaire, un grappin, une lampe torche, des shurikens ou encore une lance à eau qui renouvellent vos interactions. Le robot peut aussi interagir avec vous et vous faire comprendre que vos actions lui plaisent…

Les mondes sont très variés et plus on avance dans le jeu, plus l’imagination des créateurs surprend. Certains niveaux sont sous l’eau, d’autres en semi apesanteur dans l’air, et l’un des plus beaux est quasiment dans le noir. La lampe torche permet alors de révéler des plates-formes transparentes et sensibles à la lumière, magique ! Pour visiter l’ensemble des planètes, des niveaux et battre tous les boss, il faut compter 5 ou 6 heures de jeu, et même un peu plus si l’on veut sauver tous les robots et jouer à tous les défis.

Ce jeu est une très belle réinvention du genre que j’oserai comparer aux meilleurs Nintendo. Je ne suis sans doute pas vraiment objectif car fan des jeux de plates-formes, mais Astro Bot Rescue Mission est pour moi simplement un des meilleurs jeux VR de la PlayStation 4.

Cet article a été initialement publié sur polygamer.com.

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Escape Game – «La jungle» GG Escape

9 juin 2019Laisser un commentaire

Quand il s’agit de pénétrer dans un temple perdu au fond d’une jungle hostile, mieux vaut nous appeler qu’Indiana Jones…

GG Escape Game est une enseigne parisienne toute récente, qui a très peu communiqué depuis son ouverture, nous les avons d’ailleurs découvert un peu par hasard. C’est une fois de plus sans vraiment savoir ce qui nous attendait que nous avons débarqué dans leurs locaux, ou plutôt devant, une étrange librairie de Mangas étant bizarrement à la même adresse…

Ici, pas d’immense vitrine où l’on peut voir ce qui se passe à l’intérieur, un interphone et une réponse hachée et grésillante de l’enseigne. Nous sommes à la bonne adresse, nous entrons et dès les premières secondes, cet article va être compliqué à rédiger ! Sachez juste que la mise en ambiance commence tôt, très tôt.

Après un briefing presque aussi long que ceux d’Immersia, nous constatons que les créateurs de l’enseigne sont fans de jeux de rôles et de GN. La table est recouverte d’équipements divers, nous nous jetons sur nos gilets tactiques et devons choisir entre différents objets, dont des pistolets, des lampes, des lampes UV et… un CD de Britney Spears ! Aucune idée de son utilité et Vincent, notre GM, reste volontairement flou.

Épisode 1 : La jungle

Une mission simple nous attend pour ce premier épisode, nous devons retrouver un espion perdu dans une lointaine jungle.

Après un voyage rapide dans une navette affrétée par l’agence GG, avec notre GM pour pilote, nous arrivons dans un décor totalement incroyable. Si certaines grandes enseignes ont pour habitude de faire créer de très beaux lieux par des décorateurs professionnels, les plus petites font généralement tout à la main et la qualité est un cran en dessous. Mais ici la surprise est totale, d’un niveau jamais vu pour une jungle et son temple, le tout sous au moins quatre mètres de hauteur. Et comme si ça ne suffisait pas, un élément supplémentaire en rajoute encore sur le waouh de la salle et on se demande ce qu’ils nous réservent d’autre.

Malgré la simplicité apparente, ce décor présente de nombreuses caches vicieuses et l’espion qui nous a précédé en a visiblement bien profité. En dignes héritiers du professeur Henry Walton Jones, nous assemblons les éléments et déclenchons le mécanisme qui nous ouvre les portes du temple. Aucune énorme boule en pierre ne se dirige vers nous, aucun pieu en bois empoisonné nous bloque le passage, nous pouvons entrer. L’intérieur du temple est plus brut, et paradoxalement, les énigmes deviennent plus technologiques. La fouille est cependant toujours très importante et si nous arrivons à résoudre certaines énigmes sans en avoir tous les éléments, nous nous retrouvons plusieurs fois bloqués. Les quelques interventions du GM se font avec finesse et nous permettent d’avancer dans le temple. Notre mission initiale est bien loin maintenant…

En bons fans de jeux, les créateurs de GG Escape Game ont souhaité ajouter à la mission principale une quête annexe. Nous devons rapporter des artefacts, mais nous ne savons pas vraiment comment les reconnaître. Soit le brief était volontairement flou, soit nous n’avons une fois de plus pas écouté un passage important. Nous découvrons sur plusieurs objets un élément différenciant, mais sans certitude je récupère le sac d’un ancien explorateur abandonné dans le décor et y ajoute presque tout ce que je trouve. Avec la veste tactique, les lampes, le chapeau d’explorateur piqué sur un cadavre, les sacs, mes déplacements deviennent de plus en plus compliqués.

Après une première sortie, nous décidons de retourner dans la salle pour chercher le dernier artefact et finissons par rejoindre la navette à 45 minutes. Un très long debrief se fait alors avec Vincent et on se rend encore plus compte du superbe travail effectué. Comme pour quelques autres enseignes, notre petit reproche se fait sur le principe de la quête annexe qui fait retomber la pression et coupe les joueurs du rush de la sortie. Nous préférons toujours finir les aventures en état d’excitation intense plutôt qu’en cherchant à résoudre des missions secondaires.

Malgré ce petit détail, cet Escape Game est tout simplement excellent, son décor est de très haut niveau, ses énigmes sont agréables, mélangeant du traditionnel et du plus technologique. Vivement les prochains épisodes !

Cet article a été initialement publié sur polygamer.com, vous pourrez y retrouver les avis des autres membres de l’équipe.
Plus d’informations sur cette salle sur le site de GG Escape.

Retrouvez tous nos articles Escape Games, nos avis et conseils sur Paris, la liste complète des enseignes et salles de Paris/IDF et les taux de réussite.

Crédits Photos : © GG Escape

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Escape Game – «Gen Dynamic Project» Escape or Not

26 mai 2019Laisser un commentaire

Une ile perdue au large de l’Amérique Centrale, un laboratoire de recherches génétiques et des espèces animales disparues… C’est bon, vous avez le thème de cet Escape Game ?

Un des avantages à avoir joué pas mal d’Escape Games est que l’on connaît nos défauts, nous savons par exemple que nous lisons les résumés des rooms en diagonale et n’écoutons jamais les briefings d’introduction. Mais connaître un défaut ne veut pas forcément dire que l’on va chercher à le corriger, et quand nous recevons le long email d’Escape or Not nous rappelant notre mission, personne dans l’équipe ne le lit. Personne.

Alors forcément, quand nous entrons dans les locaux le soir même et que Morgan nous demande si l’on sait ce que nous venons faire, on se regarde comme trois débiles de poissons rouges au fond d’un bocal. Toma nous sauve en remarquant la petite musique d’ambiance qui lui rappelle Jurassic Park, un grand sourire se forme sur son visage, suivi rapidement des nôtres. En y ajoutant certains petits éléments du décor de l’accueil, il se pourrait bien que le thème ait un rapport avec les dinosaures !

Notre GM peut alors entrer dans son rôle, et dans cette pièce totalement recouverte de mousse acoustique noire, nous raconter l’histoire de cette ile lointaine, nous donner nos blouses de scientifiques, notre équipement et nous dévoiler un passage secret…

Gen Dynamic Project

Nous partons en reconnaissance pour découvrir ce que peut faire une multinationale spécialisée dans la recherche génétique sur une ile perdue. Nous avons pour mission de percer les secrets de Gen Dynamic.

Une fois le passage franchi, nous arrivons dans une jungle luxuriante, entremêlées de plantes. Pour avoir plusieurs fois rencontré des jungles dans les escapes, le décor nous met immédiatement une claque par son réalisme, il y en a du sol au plafond, sur tous les murs. Des cages éventrées et des panneaux Danger 10.000 volts laissent craindre le pire et nous rappellent une vieille histoire au large du Costa Rica. Les bruitages très présents nous immergent encore plus dans cette jungle du bout du monde et nous avons à la fois envie d’en profiter et d’en partir le plus vite possible.

Après des énigmes simples, nous tombons sur une épreuve qui demande de mémoriser plus de 5 secondes des informations. Le stress du jeu aidant, les trois poissons rouges sont de retour. Le GM s’amuse à faire apparaître et disparaître son aide juste quand nous en avons besoin, on sent son côté vicieux et joueur. Ses échanges se font via un moyen de communication fixé sur un de nous, il s’amuse bien et nous a parfaitement cernés !

Les portes du laboratoire de recherche se dévoilent et le décor change radicalement, à une constante près, d’étranges traces de griffures. Vu les entailles, les animaux doivent être énormes et peu rassurants. Nous nous rapprochons du but et les énigmes deviennent alors plus complexes, plus scientifiques. Entre manipulations, recherches et calculs, il y a largement de quoi faire et nous sommes pour une fois assez concentrés. Certains événements viennent bousculer la progression et rompre le sérieux de nos travaux. Les épreuves se succèdent, entre old school et Hi-Tech, froides et fun, cohérentes et non, il y en a pour tous les gouts.

Une quête secondaire permet de prolonger la durée de notre mission, mais elle est exclusivement basée sur la fouille et nous n’arrivons pas à en récolter un seul élément. Nous finissons par être persuadés que le GM n’a pas jugé nécessaire de l’activer pour nous. C’est tout proche des 60 minutes que nous quittons enfin l’ile, après avoir découvert ses secrets et déjoué un dernier rebondissement. Nous retournons dans les pièces pour un long debrief et presque par magie, Morgan nous montre un par un les éléments que nous aurions dû trouver pour dépasser l’heure de jeu, ils étaient tous bien là !

Sans le savoir, nous étions dans le niveau le plus difficile et nous avons eu à résoudre de très nombreuses énigmes, surtout à trois. Gen Dynamic Project est une salle exigeante qui se mérite, mais la sortie a quelques minutes de la fin n’en n’est que plus excitante. Il existe néanmoins deux autres niveaux de difficulté, nommés Kids et Novice, qui permettent d’adapter la salle à tous les joueurs.

Le décor, le thème original, les surprises en font une salle excellente. Certains éléments font évidemment résonner chez nous une passion enfouie pour Jurassic Park, mais Gen Dynamic Project devrait tout autant plaire à toutes les équipes.

Cet article a été initialement publié sur polygamer.com, vous pourrez y retrouver les avis des autres membres de l’équipe.
Plus d’informations sur cette salle sur le site de Escape or Not.

Retrouvez tous nos articles Escape Games, nos avis et conseils sur Paris, la liste complète des enseignes et salles de Paris/IDF et les taux de réussite.

Crédits Photos : © Escape or Not

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Obey x Invader

4 mai 2019Laisser un commentaire

Quand les street artists Invader et Shepard Fairey collaborent pour une collection de vêtements, il faut s’attendre à un combat acharné pour s’en procurer un.

J’assume toujours autant ma multimonomaniaquerie, et comme vous avez peut-être pu le lire dans l’article sur FlashInvaders, je suis évidemment accro aux mosaïques Space Invader. En tout bon fan, il était impossible de résister à la collaboration entre Invader et un autre street artist, Shepard Fairey, via sa marque Obey.

Une collection de tee-shirt en série limitée a été créée et mise en vente le 4 avril dans la boutique parisienne. Une heure avant l’ouverture, il y avait déjà plusieurs centaines de personnes dans la rue, comme on peut le voir sur cette vidéo instagram. Une partie des fans venait pour les affiches numérotées en plus des vêtements, ce n’était pas mon cas et j’ai préféré attendre la vente en ligne du lendemain.

Prêt à 9h50, équipé comme pour les ventes de places de concert ou de festivals avec plusieurs navigateurs internet ouverts et plusieurs onglets, mon compte créé sur le site Obey, ma carte bleue en main, je n’avais plus qu’à attendre 10h00. Et forcément, gros rush à l’heure pile et tout a été vendu en moins de deux minutes. Commande passée, confirmation reçue, plus qu’à croiser les doigts. Dans l’après-midi, deux copains me disent que leur commande a été annulée par la marque, je commence à stresser. Mais par chance la mienne est validée et je reçois le tee-shirt une semaine plus tard. Avec l’inobjectivité du fan, il est beau, très beau !

C’est la mosaïque LA_056 qui est représentée sur le tee-shirt, avec le petit détail parfait des deux carreaux manquants en haut à droite, comme à l’époque où elle existait encore (cette œuvre n’est malheureusement plus visible à Los Angeles).

Photo invader.spotter.free.fr

Le tee-shirt ne se flashe pas, mais on s’en doutait…

Cela peut paraitre surprenant de trouver un article sur un tee-shirt sur ce blog plutôt geek, et pourtant ce n’est pas la première fois. Par exemple le Transmit pour la Geek pride day, le Coda dans la collection 2009-2010 du geek Mac, les tee-shirts Microsoft Softwear et enfin l’indispensable Spinner de Panic !

Retrouvez tous les podcasts Already Flashed et tous les articles sur FlashInvaders et les Invaders.

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