…mais j’ai une bonne excuse.
En seize années de ce blog, je ne me suis jamais vraiment imposé de rythme de publication. Les articles viennent en fonction de mes goûts, de mes envies geeks, de mes délires. Pour combler un peu mes absences ici, je republie parfois mes articles de Polygamer, dans la partie « Publiés ailleurs » de la page d’accueil, mais ça ne me satisfait jamais vraiment, j’aimerais trouver plus de temps pour smy.fr.
Pour une fois, j’avais prévu plein de choses pour le début 2021, plein d’idées d’articles. Mais par une étrange envie ludique, j’ai voulu tester un des jeux vidéo les plus durs du monde. C’était juste pour ma culture, pour voir une fois dans ma vie ce que donnaient ces jeux dont les joueurs acharnés parlaient, tout en sachant pertinemment que j’avais 99% de chance d’abandonner au premier combat perdu. Le problème des probabilités, c’est qu’elles restent des probas et que parfois on tombe sur le 1%, et je me suis retrouvé dans ce cas.
Le mois de janvier a défilé à toute vitesse avec ce sublime Demon’s Souls sur PlayStation 5, le confinement n’a évidemment pas aidé à me faire décrocher, comme un ado obsédé devant sa console. Plus de quarante heures en un mois, il fallait bien ça pour terminer le jeu et publier Pourquoi j’aime Demon’s Souls, alors que je devrais détester.
Quand je vous disais que j’avais une excuse !

Crédits Photos : Demon’s Souls


Tom, notre GM, ne sait pas encore ce qui va lui tomber dessus. Il se présente comme le Youtubeur Roxxor et se trouve devant la porte de l’entrepôt 13. Il a besoin de nous pour réussir à entrer et semble prêt à exécuter nos idées les plus cinglées. Nous sommes six derrière nos écrans, et dans une entente spontanée et l’habituel manque de sérieux de nos escapes, nous lui proposons tout et n’importe quoi. Et puisque nous ne pouvons pas nous déguiser comme nous le faisons habituellement, c’est Tom/Roxxor qui va le faire pour nous.



La folie guettait, sournoise, et j’aurais dû me méfier au printemps 2018 lors de la création de ma première carte des Invaders parisiens. Je voyais ça comme un loisir un peu geek, le plaisir de rechercher et reconnaître les emplacements depuis des photos, mélangé au plaisir du développement logiciel pour agréger des données de sources différentes et générer une cartographie. Mes copains geocacheurs plongeaient de plus en plus dans ce monde des Invaders, mais je pensais pouvoir résister.







Nous réussissons la première grande épreuve de sa vie et basculons quelques années plus tard, à l’adolescence. On sent déjà que nos premières actions ont un impact sur cette Swann devenue ado, et par chance elle n’est pas rebelle. Le décor change du tout au tout, cette Swann est bien curieuse ! Les énigmes deviennent plus complexes, plus sombres, non linéaires, nous sentons la pression monter. Et ce n’est pas fini, nous visitons encore plusieurs époques de sa vie et chacun de nos choix fait évoluer son comportement, espérons ne pas avoir fait d’erreur !











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