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Escape Game – «Mission spatiale» The Game

27 novembre 2022Laisser un commentaire

J’hésite sur deux introductions, sans doute deux de trop pour cet escape game qui n’en mérite pas tant…

En écrivant cet article, au moins deux introductions me viennent immédiatement en tête. L’une serait « Ça faisait cinq ans que nous n’étions pas allés chez The Game, et nous n’y retournerons pas avant cinq ans ». La seconde, tout autant agréable « Quelle enseigne peut encore oser en 2022 utiliser le morceau We are the Champions à la fin de l’aventure ? ». Mais pour préserver la surprise, et laisser un peu de suspens, je vais attendre la conclusion pour dire à quel point cette enseigne n’apporte plus rien aux joueurs d’escapes, en tous cas aux fans du genre.

Trois ans avant la mission DART de la Nasa qui vient de réussir à faire écraser une sonde sur un astéroïde, The Game ouvrait La mission spatiale. C’était en 2019, encore l’âge d’or des Escape games, les budgets de créations des salles étaient fous, les idées plus incroyables les unes que les autres, le Covid n’avait pas encore provoqué l’énorme coup d’arrêt.

La mission spatiale

Un astéroïde fonce sur la terre, le seul moyen d’éviter la catastrophe est de rejoindre la station spatiale et la dévier pour la placer sur la trajectoire de l’astéroïde.

Notre équipe est séparée, afin de doubler les chances au décollage et qu’au moins une partie des astronautes arrive à rejoindre la station. Ceci est évidemment prétexte à une collaboration un peu artificielle, mais nous sommes encore dans une phase ouverte et curieuse et nous nous amusons. Par chance, les deux groupes se retrouvent juste à l’arrivée de la station spatiale, les décors sont petits, mais plutôt jolis.

Les premières énigmes sont malheureusement totalement incohérentes, et surtout totalement rébarbatives. J’avais critiqué l’Avion de The Game pour une trop forte cohérence, à vouloir absolument que tous les éléments soient crédibles dans un avion, au risque de retirer tout fun. Dans cette mission spatiale, on n’a ni cohérence, ni fun, ce qui va finir par être la marque de fabrique de l’enseigne. Dire que nous étions ébahis il y a des années par le Braquage à la Française ou le Métro. En en parlant avec des copines blogueuses Escapes, elles qualifiaient l’enseigne de « trop sage », tout est peut-être effectivement là.

A la moitié de l’aventure, un bel élément de décor provoque son effet. Il est cependant sous exploité et ne provoque pas le stress qu’il aurait du, c’est encore raté. La suite est à l’unisson, toujours pas de fun, des énigmes que nous enchainons en bons élèves.

Seul Hugo, notre GM, arrive à sauver tout ça. Il est parfait dans son rôle, mais il sent bien à voir nos têtes que nous avons trouvé ça plutôt moyen. On va nous rétorquer sans doute que nous sommes blasés, sauf qu’en repensant à nos dix dernières salles jouées, nous nous sommes totalement éclatés dans au moins huit d’entre elles ! En conclusion, The Game n’est tristement plus pour nous. J’espère qu’il l’est encore pour vous…

Cet article a été initialement publié sur polygamer.com, vous pourrez y retrouver les avis des autres membres de l’équipe.
Plus d’informations sur cette salle sur le site de The Game.

Retrouvez tous nos articles Escape Games, nos avis et conseils sur Paris, la liste complète des enseignes et salles de Paris/IDF et les taux de réussite.

Crédits Photos : © The Game

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Jeu – South of the Circle

24 octobre 2022Laisser un commentaire

Entre l’Antarctique et le Cambridge des années 60, cette petite merveille ultra narrative arrive enfin sur consoles.

Il aura fallu deux ans pour que ce jeu passe de l’Apple Arcade aux consoles et PC, deux longues années à le surveiller, tant il avait l’air surprenant. Par son style graphique tout d’abord, ses aplats pastels, son animation, sa fausse douceur. Et par son thème aussi, que l’on pouvait entrevoir dans les différents trailers.

Peter, universitaire à Cambridge, part en Antarctique pour une mission scientifique en plein guerre froide, le continent est partagé entre les nations opposées. Son avion s’écrase et il doit trouver de l’aide. L’histoire alterne alors les scènes dans la neige et son passé en Angleterre, dans une succession de flashbacks présentés avec des match cuts, des transitions très esthétiques. Quand Peter ouvre la porte de l’abri d’une base scientifique sous la neige, il se retrouve projeté dans son passé de jeune professeur Anglais, au moment où il ouvrait la porte de son bureau. Mais au-delà de ce personnage, c’est le joueur lui-même qui se sent projeté, qui passe d’une scène à l’autre, d’une époque à l’autre, pour incarner de plus en plus Peter. À la survie du pôle Sud s’oppose ses études, sa rencontre avec Clara, un autre personnage important de l’histoire, ses collègues, son supérieur. La période est aux luttes politiques, sociétales, à la place des femmes dans ce milieu universitaire sexiste.

Comme dans tout jeu narratif, le joueur peut décider de l’orientation des dialogues. Mais plutôt que d’avoir le choix entre différentes phrases, South of the Circle présente des « émotions », cinq pictos qui vont de l’inquiétude à l’enthousiasme. Le choix d’une des émotions va poursuivre la discussion, avec une fluidité bien plus immersive que des choix de phrases pré-affichées. Certaines décisions vont avoir un impact sur l’histoire, mais d’une manière très surprenante qui ne peut être comprise qu’à la fin des trois à quatre heures de jeu, dans un très étonnant retournement. Si la narration l’emporte sur tout le reste du gameplay, d’autres actions sont toutefois contrôlées par le joueur, comme les déplacements du personnage ou la conduite par exemple.

South of the Circle est d’une très grande finesse, sa tension, sa mélancolie, son écriture, sa fin qui provoque d’inévitables questionnements en font un excellent jeu narratif. Et son superbe style graphique colle parfaitement à son propos.

Cet article a été initialement publié sur polygamer.com.

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Escape Game – «Le studio» Joueurz

2 octobre 20221 commentaire

Enfin reconnus à notre juste valeur artistique, nous allons pouvoir enregistrer notre premier single !

Au fil de nos années d’aventures, nous avons pu constater que notre équipe était douée pour tout, sauf les compétences habituelles des escapes. Nous écrivions en 2016 un petit guide de l’aventurier que nous avons aussi vite oublié. La fouille, la communication, la répartition, bref l’organisation, ce truc assez abstrait auquel nous préférons les déguisements, les conneries, les coups fourrés entre coéquipiers, tout ce qui fait que nos GM deviennent fous en deux minutes.

Quand Joueurz (ex Leave in time Paris) nous a proposé de venir dans leur Studio, on s’est dit que pour une fois, nos multiples talents allaient servir à quelque chose. Notre vision presque artistique (qui est un synonyme de bordélique) du jeu allait grandement nous servir pour enregistrer enfin notre premier single. Nous avons composé tranquillement le morceau dans notre coin, puis nous avons envoyé la maquette à notre producteur, juste à temps pour en faire le son de l’été.

Le Studio

Comme tout salopard qui se respecte, notre producteur a décidé de faire enregistrer notre morceau par un autre groupe. Nous profitons de la pause des musiciens pour nous incruster dans le studio, effacer leur travail et prendre leur place pour enregistrer NOTRE morceau. Le temps est compté.

Le décor est parfaitement dans l’imaginaire d’un studio, la cabine d’enregistrement et ses instruments en grand nombre, ses câbles partout, la régie derrière la vitre (la vidéo en fin d’article est tournée dans les décors). Le lieu donne assez rapidement envie de s’amuser, plein d’accessoires permettent de se déguiser, notre boys band ressemble de moins en moins à un groupe cohérent et je commence à comprendre notre producteur.

Les énigmes sont parfaitement et logiquement dans le thème, avec une progression assez linéaire liée à l’enregistrement du morceau. Avec un tel sujet, Joueurz avait tellement de possibilités pour imaginer des énigmes, la difficulté de conception se situant sans doute plus dans l’intégration technique des épreuves. Nous remarquons d’ailleurs le superbe travail réalisé sur ce point. Si certaines énigmes instrumentales sont classiques pour les habitués d’escape games, d’autres sont hyper originales et vraiment funs à manipuler ou résoudre, le plaisir est là d’un bout à l’autre du jeu, même sans aucune compétence musicale. Le thème est léger et nous passons l’heure à sourire. Il y a aussi un peu de collaboration, comme dans un vrai groupe !

De très belles surprises émaillent l’aventure, dont l’une qui fait largement son effet et a un impact sur le décor, on sent que l’enseigne a déjà plusieurs salles à son actif sur Nantes et Paris pour oser. D’autres surprises sont bien vues, jusqu’aux dernières secondes du jeu.

Notre GM/ingénieur du son nous accompagne à distance, avec les petites aides nécessaires, particulièrement sur nos « points forts », la fouille et l’observation. Après 49 minutes à torturer les instruments, mais pas que, notre single est prêt et nous quittons le studio. Confiants de notre réussite, le producteur ne pourra qu’apprécier notre travail. S’en suit un long débriefing et une visite de la seconde salle, organisée différemment mais identique sur ses mécanismes.

Le Studio est un très bel Escape Game, d’une thématique très originale et jamais vue sur Paris. Ses surprises et ses mécanismes en font une salle excellente, à la fois pour le plaisir du jeu et pour son ambiance propice aux délires de l’équipe.

Cet article a été initialement publié sur polygamer.com, vous pourrez y retrouver les avis des autres membres de l’équipe.
Plus d’informations sur cette salle sur le site de Joueurz.

Retrouvez tous nos articles Escape Games, nos avis et conseils sur Paris, la liste complète des enseignes et salles de Paris/IDF et les taux de réussite.

Crédits Photos : © Joueurz

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Jeu – Shady Part of Me

18 septembre 2022Laisser un commentaire

Ce jeu de plate-forme très graphique et onirique joue sur l’alternance de deux personnages, une petite fille et son ombre.

En parallèle des gros jeux sur PS5, je prends toujours du plaisir à découvrir de petites perles sur Switch, et généralement à rebours de l’actualité. Shady Part of Me est l’une d’elles, sorti à la fin 2020, je n’y ai joué que de nombreux mois plus tard.

Dans ce mélange plate-forme et puzzle, on incarne une petite fille et son ombre, deux personnages qui ne devraient en faire qu’un mais qui sont pourtant dissociés. Toute la subtilité du jeu vient de la bascule entre ces deux personnages, leur coopération permettant de les faire progresser. L’une se déplace dans un décor en 3D, quand l’autre est sur le plan en 2D des murs. L’une a peur de la lumière et meurt quand elle y est exposée, l’autre en a besoin pour apparaître.

La difficulté du jeu vient de la conception des niveaux qui jouent en permanence avec les opposés, ombre et lumière, et les déplacements possibles. C’est le joueur qui décide de changer de personnage. Quand la fille est bloquée, son ombre peut avancer et actionner un élément, quand l’ombre est bloquée, la fille peut par exemple pousser une caisse pour changer les ombrages du décor et ouvrir un passage que son ombre empruntera.

Le décor onirique semble sorti de l’imagination de la petite fille, doux, pastel, mais quelquefois effrayant. Les perspectives sont parfois volontairement faussées pour à la fois appuyer l’étrangeté et créer des énigmes. L’histoire est sombre, mystérieuse, cryptique même, tout autant étrange que les décors. L’ambiance pourrait d’ailleurs faire penser à des jeux de Playdead. Le voyage dans les rêves et cauchemars de la fillette est là pour provoquer des sensations, tel un jeu narratif auquel on ne comprendrait pas tout, même s’il reste avant tout un jeu de plate-forme. Certaines séquences de gameplay varient néanmoins le style, pour casser la répétition. Une mention toute particulière pour la musique, très réussie.

Shady Part of Me se boucle en 6 à 7 heures, sans difficulté particulière, sauf si l’on veut récupérer la centaine d’oiseaux qui volètent dans les niveaux et ne sont pas toujours évidents à attraper. Il a été créé par le studio Douze Dixièmes et est édité par Focus. Il est disponible sur toutes les consoles et PC

Cet article a été initialement publié sur polygamer.com.

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Jeu – Golf Club Nostalgia (Wasteland)

19 mars 2022Laisser un commentaire

Quoi de plus fun pour les richissimes terriens exilés sur Mars que de venir jouer au golf dans les débris post apocalyptiques de la Terre ?

Je n’aurais jamais imaginé écrire un jour un article sur un jeu de golf, et encore moins sur un jeu de golf Post Apo. Et pourtant, cet improbable Golf Club Wasteland Nostalgia est une petite merveille en 35 parcours.

La terre en ruine est une immense décharge contaminée, sa population la plus riche s’est enfuie à Tesla City sur Mars pour survivre, mais tourne en rond sur cette lointaine planète. En fidèles Trumpistes fans de Golf, ils n’hésitent pas revenir sur terre pour taper quelques balles, vêtus de combinaisons étanches jaunes et de jetpacks.

On incarne donc un golfeur solitaire qui évolue dans ce décor bleuté et faussement inhospitalier, parmi les débris d’une civilisation perdue. Radio Nostalgia From Mars est diffusée en permanence dans nos oreilles, et alterne musiques, interviews d’auditeurs qui regrettent la terre d’avant sa chute et messages de sécurité martienne. Cette bande sonore appuie parfaitement le propos du jeu et renforce incroyablement l’ambiance.

Mais le golf n’est pas qu’un prétexte à la dénonciation politique de notre monde, il est parfaitement réalisé et très fun, tout au long des parcours en extérieur, dans les immeubles ou les sous-sols de la terre. Le gameplay très réduit ne cache pas la difficulté de certains niveaux, qui pourraient presque être du mini-golf tellement le fun prime sur le reste. La totalité des parcours se termine en trois heures, auxquelles il faut ajouter beaucoup d’entrainement pour réussir à le platiner sur PlayStation.

Initialement sorti sur mobiles, ce petit jeu s’adapte parfaitement à nos consoles et fait du bien entre deux gros jeux.


Cet article a été initialement publié sur polygamer.com.

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Escape Game – «La pierre de lumière» Masterio

6 février 20221 commentaire

Quand un Escape Game Heroic Fantasy cherche des aventuriers de Niveau 1, il ne peut pas mieux tomber qu’avec notre équipe.

Dans ma folie statistique et « data addict », je maintiens depuis des années une carte des escape games parisiens. Elle ne sert pas à grand-chose, mais elle permet de visualiser d’un coup l’énorme concentration des enseignes dans le centre et l’est de Paris, ou de calculer qu’à peine 15% se situent rive gauche. Mais pour une fois elle a été utile, car un des membres de l’équipe a décidé de partir vivre en Bretagne. Ce n’est pas une légende, les bretons sont perdus dès qu’ils s’éloignent un peu trop de la gare Montparnasse, nous avons donc dû trouver un Escape que notre nouveau breton pourrait rejoindre sans problème. L’emplacement de Masterio en plein XIVeme arrondissement semblait parfait, mais il s’est quand même perdu…

Heureusement, en plus d’un accueil hyper chaleureux par l’équipe de Masterio, ils ont prévu qu’un des joueurs puisse arriver en retard. On discute évidemment de leur toute nouvelle enseigne, de leurs travaux, mais aussi d’une mini aventure qui se trouve… dans les toilettes ! Y entrer est simple, mais en sortir demande de résoudre une énigme en plusieurs étapes qui met la pression. On se sent bête, enfermé tout seul dans cette pièce, à tout analyser, et à entendre les autres équipiers se marrer de l’autre côté de la porte.

Mais l’essentiel est évidemment ailleurs, une histoire de mage, de nain, d’heroic fantasy. C’est avec nos rôles, quelques sorts et accessoires que nous allons découvrir la véritable aventure.

La pierre de lumière

Un mystérieux personnage recrute des aventuriers pour une mission périlleuse, trouver la pierre de lumière. L’avenir du monde en dépend.

La mise en ambiance est immédiate, un décor de caverne quasiment dans le noir, une fouille assez succincte, d’étranges torches et rapidement une énigme. Si la première pièce est tout à fait crédible, c’est surtout dans la suite des décors que Masterio a déployé tout son savoir faire médiéval. Les lieux sont beaux et « s’animent » sous nos yeux, un mécanisme superbement original m’éblouit et me convainc totalement.

Nous avons chacun nos rôles, et dans la perfection de son role play, le nain de l’équipe décide de ne plus se déplacer qu’à genoux. Celui qui a le grimoire ou le guide d’aventurier ne sait pas vraiment lire, ce qui complique particulièrement les énigmes où il faut un peu de réflexion. Comme à notre habitude, nos débuts sont assez lents et nos délires en rajoutent, mais qu’importe, le temps n’est pas compté dans cette aventure. Tout est basé sur un système de points, de quête annexe, de pièces d’or, on s’éloigne de l’Escape Game classique pour s’approcher du jeu de rôle, au moins dans sa partie score.

L’aventure devient de plus en plus dense, tendue, les décors de plus en plus travaillés. Si nous étions calmes pendant la première partie du jeu, nous sentons petit à petit la pression monter. De nombreux mécanismes jalonnent la mission, les énigmes sont variées, high tech, fun, surprenantes, collaboratives. Elles nécessitent parfois les sorts du mage, la petite taille du nain, plus rarement la bêtise ou la gourmandise de l’équipe. Vu la quantité d’épreuves, nous donnons du travail aux GM, qui nous aiguillent avec justesse.

Après une heure quinze de jeu, il est temps de quitter les lieux, nous sommes à quelques minutes et quelques neurones de réussir la quête annexe, mais nous devons l’abandonner et rentrer au XXIè siècle. Le long debrief nous permet de découvrir tout ce que nous avons raté, et pourquoi notre classement aurait pu être meilleur. Mais puisque nous avons toujours nos pouvoirs fantastiques, nous en profitons pour envouter le compteur et obtenir un score jamais atteint…

La pierre de lumière est une très belle salle, dans une thématique pas si courante. Elle n’impose pas le role play et chacun pourra vivre son aventure comme il le souhaite, même si incarner un minimum les personnages ajoute du plaisir, forcément.

Cet article a été initialement publié sur polygamer.com, vous pourrez y retrouver les avis des autres membres de l’équipe.
Plus d’informations sur cette salle sur le site de Masterio.

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Crédits Photos : © Masterio

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Escape Game – «Le crime de l’Orient Express» The One Escape

20 novembre 2021Laisser un commentaire

Un luxueux train qui file vers Istanbul, un crime, des suspects. Un scénario qui rappelle d’anciennes lectures, et que nous allons pourtant vivre dans un exceptionnel mélange d’Escape Game et de Murder Party !

Impossible de résister au sifflement de l’Orient Express ! Après nos Hallucinations chimiques chez le Dr. Grant cet été, nous avions parlé avec le créateur un peu fou de The One de sa seconde salle. Entre la surprise que nous venions de vivre sur ces Hallucinations et la curiosité qu’avait su faire naitre Damien pour cet Orient Express, nous ne pouvions pas vraiment attendre longtemps et il nous fallait vite revenir.

C’est donc avec une excitation palpable que nous nous rendons de nouveau chez The One en ce début septembre. S’il est facile d’être très agréablement surpris quand nous n’avons pas d’attente sur un jeu, nous craignons secrètement un peu l’effet inverse cette fois, puisque nous sommes tous les quatre impatients d’embarquer dans cet étrange mélange d’Escape Game, de Murder party, de jeu de rôle. Nos expériences précédentes d’aventures orientées Role play ont souvent été mémorables, que ce soit dans la Mission Evolvis ou le Live Thriller, et nous avons théoriquement tout pour apprécier. Mais nous ne savons pas encore à quel point ce mélange va être réussi, ni ce que certains d’entre nous vont être capables de faire pendant 70 ou 80 minutes, offensichtlich !

Après nous avoir remis nos fiches de personnages, notre GM nous reçoit un par un pour nous fournir nos déguisements et répondre à nos questions avant d’embarquer. Nous avons chacun un rôle et des origines différentes. Je vais incarner un voyageur italien, quand certains autres sont américains, allemands ou irlandais.

Le crime de l’Orient-Express

Hiver 1934, l’Orient-Express est en route vers Istanbul quand un cri résonne, un des voyageurs est assassiné. Nous sommes les passagers de ce train, et l’un d’entre nous est forcément le coupable. Avec l’aide du Chef de cabine, nous devons trouver le meurtrier avant la prochaine halte.

Confortablement assis dans le wagon bar, nous sommes dans un luxueux train du siècle dernier. Les fenêtres montrent la gare dans laquelle nous sommes provisoirement arrêtés. Le GM/Chef de cabine nous parle du cadavre de Samuel Lioretti trouvé mort dans sa cabine, porte fermée de l’intérieur, et nous demande qui nous sommes, le but de notre voyage et nos alibis. Chacun raconte sa petite histoire, mélange de sa fiche de perso dont nous en avons retenu quelques bribes et d’une improvisation assez surprenante. L’un de nous incarne un allemand et commence ses explications avec un fort accent. La crédibilité n’est pas l’essentiel, le plus important est le rôle. Le chef de cabine retient quelques fous rires derrière son masque, tant le joueur part dans son délire, et ce n’est que le début. Il va réussir à garder son accent improbable pendant toute la durée de l’enquête.

Une fois les présentations faites, le train quitte la gare, des décors de campagne nocturne défilent par les fenêtres et des vibrations résonnent sous le plancher. L’aventure commence réellement, et retrouve son côté Escape Game et coopératif. Nous devons à la fois jouer tous ensemble pour progresser dans le train, mais aussi ne pas oublier nos missions annexes et secrètes. Cet étrange mélange est très excitant et surprenant, presque déroutant. Comment dissimuler cet élément que les autres ne doivent pas voir ? Comment détourner l’attention des membres de l’équipe ? Et comment en même temps tous avancer vers le même but, enfin presque ?

Les décors du train sont superbes. Nous pouvons voir le couloir qui mène aux cabines par un hublot dans une porte en acajou, nous devinons que la suite va être folle. Les énigmes sont réussies, dosées comme il faut pour nous rappeler que c’est aussi un Escape Game. Les mécanismes sont très variés et ne dénotent pas dans un train des années 1930.

Nous progressons dans le train, nous jouons avec le décor, nous nous cachons quand c’est nécessaire, enfin surtout certains. Quand l’arrivée en gare est proche, et avant que la police ne monte dans le wagon, le chef de cabine nous rassemble de nouveau. L’enquête est terminée, nous devons déterminer le coupable. S’ensuit des discussions enflammées, des accusations, des démentis. Un coupable probable est décidé par les trois autres joueurs, le quatrième ne peut se défendre. Mais ont-ils trouvé le meurtrier ?

Nous avons largement dépassé le temps de jeu, pourtant déjà très long puisque prévu pour 70 minutes. Notre GM, Damien, nous a accompagné avec finesse dans toute cette histoire incroyable, nous a guidés, recadrés même, quand c’était nécessaire. Il nous a aussi individuellement rappelés nos missions annexes, quand nous en venions à (presque) les oublier tant nous étions dans le jeu. Son rôle est incroyablement important, le jeu serait totalement différent sans cette présence prépondérante et formidablement incarnée. Comme souvent d’ailleurs dans les enseignes qui mettent en avant le GM.

Notre classement des Escape Games en «Coups de coeur» ici et en «Incontournable» sur Polygamer est la consécration, il reflète des aventures qui ne peuvent exister ailleurs, qui sont mémorables, quelle qu’en soit la raison. La folie créative des enseignes en est souvent à l’origine. Cet Orient Express entre dans tous ces critères, nous allons y repenser longtemps ! Il demande un investissement des joueurs dans leur rôle, du plaisir à incarner un personnage, mais si vous et votre équipe aimez le Role play, préparez vos improbables imitations d’accents et foncez.

Cet article a été initialement publié sur polygamer.com, vous pourrez y retrouver les avis des autres membres de l’équipe.
Plus d’informations sur cette salle sur le site de The One.

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Crédits Photos : © The One

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Escape Game – «Règlement de contes» Pandore & Associés

4 septembre 20211 commentaire

Contrairement à ce que l’on pourrait imaginer, le monde magique des contes ne tourne pas tout seul et a besoin d’entretien régulier. Empoisonner une pomme n’est pas à la portée de la première sorcière venue.

Après des mois de buzz quasi immanquable pour les Parisiens fans d’escapes, Pandore et Associés ouvraient à la fin du printemps 2020 leur première salle, le Règlement de Contes. Ce n’est qu’un an plus tard, à l’été 2021, que notre équipe de maintenance a enfin pu venir en aide aux contes du monde entier, pour une mission en apparence toute simple.

Alexis nous accueille dans les surprenants locaux de Pandore. Du sol au plafond, les murs sont recouverts de caisses et de malles. Chacune d’entre elle contient un objet magique devenu trop encombrant ou dangereux pour son propriétaire, et tout est soigneusement étiqueté. Une invitation à la curiosité.

En dehors du thème des Contes, nous avions eu le temps d’oublier ce que nous venions faire ici. Notre GM doit donc nous rappeler que le monde des contes a besoin en permanence d’entretien, qu’il faut par exemple remplacer les pommes empoisonnées de la sorcière de blanche neige, ou tant d’autres accessoires utilisés par Grimm et Perrault. Un « transconteur » nous permet de créer des portails de conte en conte, et d’avancer dans notre mission. Il permet aussi de rester en contact avec la directrice de Pandore.

Le règlement de Contes

L’unité LXR de Pandore est en charge de la maintenance et de la protection des Contes. Nous sommes recrutés pour de simples opérations de routine, mais une menace plus importante pèse sur cet univers magique.

Après notre rapide interrogatoire de recrutement, nous entrons dans la première salle et sommes propulsés dans un univers très technologique. Cette partie est réservée aux équipes de maintenances des contes et n’est donc habituellement pas accessible au public. Mais puisque nous avons été embauchés, nous pouvons découvrir l’envers du décor magique et la dure réalité de la production imaginaire. La salle semble être notre réel concours d’entrée chez LXR, nous sommes impatients d’enfin basculer dans le monde des contes et réussissons brillamment l’épreuve.

Les aventures suivantes changent du tout au tout, chaque pièce colle à l’imaginaire d’un conte et est superbement décorée. Les cheminements dans les décors sont très ludiques et notre équipe de quatre oublie son rôle d’agents LXR pour redevenir des enfants, à escalader, ramper, explorer les lieux. Nous sommes cependant rapidement confrontés à une histoire dans l’histoire, un drame moderne qui rompt volontairement avec la féérie du thème pour ajouter le stress nécessaire à la réussite de tout Escape Game.

Les énigmes sont globalement simples et linéaires, mais aussi collaboratives et fun. L’humour est très présent et si Pandore pouvait se prendre au sérieux avec la superbe qualité de leurs décors, ils ont su imaginer un scénario et des épreuves souvent drôle.

Les thèmes s’enchainent dans un parcours de 75 minutes qui pourrait faire penser à une attraction de Disneyland ou d’Universal. L’immense surface de 120m2 permet à deux équipes de jouer simultanément, et sans doute trois quand le Covid aura disparu. Quand une équipe a passé la première moitié des pièces, une seconde peut entrer dans le jeu sans jamais croiser la première, ni même savoir que des joueurs l’ont précédée peu de temps avant. Nous avions déjà été confrontés à une telle organisation chez Lock Busters, mais elle était autant ratée qu’elle est réussie chez Pandore et associés.

Ce Règlement de Contes mérite sa réputation de salle exceptionnelle. Il est d’une grande inventivité, ses décors sont superbes et l’ensemble est très ludique. Il frôle notre classement en « Incontournables » par l’esprit grincheux d’un nain de l’équipe, qui lui retire une poussière d’étoile. Mais qu’il soit « Incontournable » ou « Excellent », il est à faire absolument.

Si vous voulez en savoir un peu plus sur cette création par Eludice et Coqs en pâte, il y a un billet de blog qui détaille la conception sur le site d’Eludice.

Cet article a été initialement publié sur polygamer.com, vous pourrez y retrouver les avis des autres membres de l’équipe.
Plus d’informations sur cette salle sur le site de Pandore & Associés.

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Crédits Photos : © Pandore & Associés

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Escape Game – «Mission Yakuza» One Hour

17 juillet 2021Laisser un commentaire

On se demande toujours pourquoi la police fait appel à nous pour résoudre des trucs bizarres, et encore plus quand il s’agit de la disparition d’un parrain des yakuzas.

Nous l’écrivons à chaque fois, mais si vous espérez un peu d’objectivité sur One Hour, ce n’est pas forcément ici qu’il faut venir lire des avis de joueur, cette enseigne fait partie de nos chouchous depuis Lost Asylum en 2016. On se précipite évidemment à chaque ouverture d’un nouvel escape game chez eux, et si nous avions raté les quelques disponibilités d’avant le confinement d’octobre 2020, nous sommes dès le 9 juin devant leur locaux, date à laquelle les salles peuvent rouvrir en France.

Quentin est le GM / Policier qui nous accompagne dans notre mission. Il nous présente le problème du ministère de l’intérieur dans un décor de bureau de commissariat que l’on imaginerait bien tiré des années 60, tout recouvert de bois. Le briefing d’introduction se fait en étant déguisés, lui comme nous, et nous immerge très rapidement dans l’enquête.

Mission Yakuza

Le ministère de l’intérieur nous charge de retrouver un parrain de la mafia japonaise qui s’est volatilisé. L’inspecteur qui était sur l’enquête est retrouvé mort et les pistes refroidissent, ou l’inverse.

Nous débarquons dans les labos de la police scientifique, sombres et high-tech. La petite pièce est remplie d’équipements les plus divers qui vont nous permettre d’enquêter sur cette affaire. Cette pièce est le point de départ vers les nombreux autres lieux de l’enquête, évidemment inaccessibles en début de jeu. Notre manque de concentration du début fait halluciner le GM, tant nous faisons n’importe quoi, avec le plus grand des sérieux.

Les décors changent du tout au tout, nous évoluons dans les différents endroits liés à Kinechi Shonida, le parrain de la mafia recherché. Contrairement au Live Thriller pour lequel on doit réellement se déplacer dans les rues de Paris pour passer de lieux en lieux, l’espace est forcément plus rétréci dans cette Mission Yakuza. Ce sont des couloirs qui mènent aux différents sites, couloirs que l’on pourrait imaginer comme des portails dimensionnels si le thème était futuriste. Cela pourrait surprendre certaines équipes, mais tout l’art des Game designers de l’enseigne est de réussir à nous faire oublier ce détail.

Alors que nous craignions le coté enquête policière souvent un peu rébarbatif dans son déroulé et les centaines d’éléments à lire, c’était sans compter sur l’inventivité de One Hour. Une photo de la salle montre un mur rempli de clichés, de plans, de textes, de flèches liants les éléments, telles les obsessions les plus extrêmes d’une Carrie Mathison dans Homeland. Mais ce n’est presque que du décor, et le jeu est ailleurs. Une énigme est par exemple totalement jubilatoire et jamais vue, parfaitement dans le thème de la police scientifique. Et ce n’est pas la seule…

Une des habitudes de One Hour est d’impliquer les Game Master dans le jeu, et pas uniquement dans un rôle play d’apparence. Si l’ambiance permet moins de folies que dans L’Abattoir, Quentin se déchaine tout de même, pour notre plaisir et le sien.

Nous ne dirons évidemment rien sur la fin de la mission, mais elle montre encore une fois tout le savoir-faire de l’enseigne. Entre certaines énigmes qui s’adaptent à la progression des joueurs, les rebondissements, l’imagination débordante, les six ou sept fins différentes, on sent tout le travail de conception. Cet Escape Game nous a une fois de plus conquis, comme les trois précédentes salles de One Hour !

Cet article a été initialement publié sur polygamer.com, vous pourrez y retrouver les avis des autres membres de l’équipe.
Plus d’informations sur cette salle sur le site de One Hour.

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Crédits Photos : © One Hour

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Escape Game – «Le Cartel» The Box Metz

6 juin 2021Laisser un commentaire

Le Mexique, ses plages, ses narco trafiquants, ses tacos, ses cités Maya, sa tequila et surtout ses agents du FBI en perdition ! Tout pour faire un escape game finalement.

Ça deviendrait presque une routine, à chaque confinement un nouvel Escape Game en visio de The Box. Après le Casse du Siècle qui offrait un final presque aussi stressant qu’une vraie salle, après l’Entrepôt 13 et ses délires que permettaient son scénario barré, nous voici confrontés à un cartel de Mexico.

Pour cette nouvelle aventure, nous nous attendions à retrouver Tom, notre précédent GM de l’Entrepôt 13. Mais des rumeurs indiqueraient qu’il ne s’est toujours pas remis de ce que nous lui avions fait subir pendant les 45 minutes de jeu, et qu’il serait interné dans une belle chambre molletonnée d’un hôpital de Metz.

C’est donc Reda qui va s’occuper de nous, chaleureux et confiant, il ne sait pas encore ce que l’on fait des GM, ou plutôt fait faire aux GM dans les salles en visio. Il nous présente l’aventure, puis coupe quelques instants la vidéo pour incarner son rôle de Sam Parker, agent du FBI…

Pour vous mettre dans l’ambiance, lisez la suite avec la musique du Mexican Institute of Sound en fond sonore.

Le Cartel

Un agent du FBI avait réussi à infiltrer le dangereux cartel de Mexico et tentait de le démanteler, quand il s’est fait démasquer. Il croupit depuis, déguisé en Dalton au fond d’une cellule.

…l’image revient et on retrouve Reda enchainé et en mauvaise posture. Plus proche d’Averell que de Joe, il semble perdu et nous demande de l’aider, d’autant qu’un décompte dans la salle laisse penser qu’il va très vite mourir, bien avant les 75 minutes de l’aventure. On peut entrevoir le décor par ses mouvements de caméra, et c’est à six et au chaud de nos appartements que nous essayons de le faire progresser. La cellule et le reste des bureaux du Cartel sont décorés simplement, mais suffisamment pour donner le change au travers des caméras. Des bruitages et musiques sont en plus diffusés via la visio et appuient l’immersion.

Comme pour ses autres expériences, The Box a su intelligemment faire évoluer cette salle traditionnelle en un Escape Game jouable à distance. Une partie des énigmes est adaptée et transférée en version web, nous pouvons analyser et manipuler certains éléments comme si nous étions sur place. L’observation est évidemment très importante, et Sam Parker fouille les recoins que nous lui indiquons. Ses indices restent discrets.

Les énigmes sont assez old school, mais se prêtent finalement bien à la visio. On a d’ailleurs presque l’impression que cette salle gagne à être jouée dans sa version «en ligne» et qu’elle serait trop classique en version physique, mais c’est aussi une salle historique de The Box.

Après plusieurs retournements, surprises et 63 minutes de jeu, nous parvenons à libérer Sam Parker et démanteler le réseau de trafiquants. Le rôle play est moins poussé que dans l’Entrepôt 13, qui avait été conçu exclusivement pour la visio et pour déconner entre amis, le Cartel se rapproche logiquement plus des Escape Games classiques où la réflexion et la rigueur priment. Une « salle » très agréable pour des joueurs aux quatre coins de la France et du Mexique, qui se retrouveront tous sur Zoom pour fêter leur libération à la Tequila. ¡ Salud !

Cet article a été initialement publié sur polygamer.com, vous pourrez y retrouver les avis des autres membres de l’équipe.
Plus d’informations sur cette salle sur le site de The Box.

Retrouvez tous nos articles Escape Games, nos avis et conseils sur Paris, la liste complète des enseignes et salles de Paris/IDF et les taux de réussite.

Crédits Photos : © The Box

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