smy

chroniques geeks, jeux, photos et autres trucs…

  • Accueil
  • Thèmes
    • Apple
    • Escape Games
    • Geek et High-Tech
    • Geocaching
    • Jeux
    • Microsoft
    • Photographies
    • Pommes
    • Smy
    • Space Invaders
    • Steve Mobil
    • Urbex
  • Blog
  • A propos
  • smyapps

Archives pour mai 2016

Escape Game – «Le Métro» The Game

26 mai 2016Laisser un commentaire

Message de service, message de service, une équipe d’agents de maintenance est attendue pour un Escape Game à la station Cardinal Lemoine…

Est-il nécessaire de présenter The Game, cette enseigne de la rive gauche qui est très souvent citée dans les tops des joueurs ? Arrivés sur le créneau à la toute fin 2014, les créateurs ont dès le départ attaché une grande importance à l’immersion et aux décors. Les premières salles étaient très réussies, et les trois nouvelles aventures pourraient mettre la barre encore plus haut. En parisiens un peu fous et visiblement pas rassasiés des transports en commun, nous avons décidé de nous plonger dans «Le Métro», ouvert depuis quelques jours seulement.

Malgré la taille impressionnante des locaux, l’accueil est très chaleureux. Nous croisons beaucoup de monde, ça bouge dans tous les sens, et les sourires sont systématiques. Il y a visiblement encore des travaux, et nous ne comptons pas les caisses à outils, visseuses et aspirateurs qui nous passent devant. En étant pour une fois très largement en avance, nous avons l’occasion de discuter avec l’équipe et avec les créateurs Max et Max. Il y a tant à dire sur les évolutions, l’agrandissement des locaux, ou encore la licence Assassin’s Creed adaptée par l’enseigne.

metro_sergeAprès quelques boissons, nous rencontrons notre Game Master du jour, Laura. En toute fourberie, nous essayons de la corrompre avec nos étranges bonbons anglais, sans savoir si cela va nous aider dans notre mission. Une partie du briefing est consacrée aux décors des rooms, deux wagons de métro fournis par la RATP. Ces wagons MF 67 ont été produits entre 1967 et 1976 et utilisés pendant 40 ans sur la ligne 12. Démontés pièce par pièce, découpés et réassemblés dans deux salles identiques, ils servent de décor à cet Escape Game souterrain. Nous découvrirons bientôt que de nombreuses et discrètes modifications ont permis d’en faire un très surprenant terrain de jeu. Les ferrovipathes adoreront !

La Game Master insiste sur poignée rouge à trouver, et nous en montre même une photo, étrange… Nos téléphones sont récupérés et placés dans une valise métallique, puis nous partons avec nos affaires vers la salle, pas de vestiaire ici !

Le Métro

Une rame de métro vient de tomber en panne en pleine voie, les voyageurs sont rapidement évacués. Une équipe de la RATP est dépêchée sur place afin de trouver le moyen de réparer ce métro et éviter une collision.

Nous accédons au wagon par une porte arrière et découvrons le désordre des sacs, valises et blousons abandonnés par les voyageurs. Nous devons trouver une place pour nos propres vêtements et ne pas tout mélanger, ce qui participe dès le départ au réalisme de l’aventure. Si le cadre est très habituel, il est aussi très déstabilisant, et il faut fouiller les moindres recoins d’un décor que nous empruntons tous les jours. Quand en plus nous avons toute notre enfance écouté Serge, le petit lapin de la RATP, et jamais mis les mains sur les portes, il faut nous faire violence. La recherche d’indices n’est donc pas simple, à la fois dans les nombreux objets oubliés par les personnes évacuées et dans le train en lui-même. Par chance, un passager a laissé une feuille et un crayon, cela va nous servir.

Ce décor a la particularité d’évoluer au cours de la mission, et d’être à la limite de l’attraction de parc. Les bruitages, musiques et éclairages changent, montent en pression, et d’autres surprises viennent compléter l’ambiance… L’ensemble est surprenant, l’immersion parfaite, et de nombreux sourires animent nos visages tout au long de l’heure de jeu.

thegame_metro_4

Les énigmes sont assez simples et plutôt linéaires, et nous progressons dans notre mission avec quelques indices fournis par un écran très bien intégré. L’observation est primordiale, au point d’être la principale source de difficulté de cet Escape Game. La manipulation et la coopération sont aussi bien présentes, le lieu s’y prête totalement. Nous rencontrons quelques cadenas ou codes, mais rien de rébarbatif, et de petits pièges nous font grogner, pour le plaisir de la GM qui nous suit derrière les caméras. Pas de calcul, pas de mathématique ou de logique, pas de puzzle, tout est plutôt instinctif, les experts en énigmes intellectuelles risquent de rester sur leur faim.

La dernière énigme est originale et nécessite des capacités que tout le monde n’a pas, nous arrivons à la résoudre en conjuguant nos «talents», et quittons heureux la salle en 54 minutes. Mon chrono indique étonnamment 4 minutes de moins, j’ai dû traverser une faille temporelle pendant le voyage. Laura, notre GM, pense que nous avons le record, jusqu’à ce que nous constations ensemble que nous sommes deuxièmes, ce classement devrait cependant très rapidement évoluer.

Le débriefing se passe dans le décor, et nous comprenons que notre partie a vraiment été scrutée à chaque instant. Nous avions par hasard résolu une énigme avec un élément en moins, et la GM a pu bloquer la progression à distance, sans que nous nous en rendions vraiment compte. Cela nous a permis de ne pas rater un élément original de la mission.

Cette salle est vraiment très agréable, fun, le décor et la réalisation sont époustouflants ! Tous les joueurs s’y amuseront et prendront un grand plaisir à la traverser. The Game a encore une fois la bonne recette, et cette aventure monte très haut dans notre classement. Saurez-vous trouver la poignée rouge ?

Cet article a été initialement publié sur polygamer.com, vous pourrez y retrouver les avis des autres membres de l’équipe.
Plus d’informations sur cette salle sur le site de The Game.

thegame_metro_5 thegame_metro_2

Retrouvez tous nos articles Escape Games, nos avis et conseils sur Paris, la liste complète des enseignes et salles de Paris/IDF et les taux de réussite.

Crédits Photos : Les photographies de cet article proviennent de The Game, à l’exception de l’étiquette du lapin de la RATP

Classé sous :Escape Games Laisser un commentaire

Oyez oyez, braves gens, la newsletter arrive !

14 mai 20162 commentaires

Étonnant, un lecteur m’a demandé cette semaine s’il y avait une newsletter sur ce blog. Une newsletter, ou une lettre d’information, ou même une infolettre… Enfin il a juste parlé de newsletter, il n’est pas Québécois.

C’est la première fois en onze ans, moi qui pensais que l’email disparaissait peu à peu de l’internet des années 2010-2020, en tous cas dans l’univers des sites d’infos, de loisirs, des blogs. Tout ces vieux trucs remplacés par les réseaux sociaux.

Mais pourquoi pas, dépoussiérons cette technologie de 1965 ! Si vous aussi, vous souhaitez vous abonner à la newsletter de ce blog farfelu, c’est juste ici ! On parle de plein de trucs, on change souvent de thématique, on s’enflamme, et parfois on hiberne…

Vos paupières sont lourdes, très lourdes, vous vous détendez. A l’écoute de ces mots, vous ressentez un grande chaleur, votre force physique vous lâche. Votre volonté ne cesse de faiblir, vous saisissez votre email ci dessous…

C’est ici !




Par contre, si quelqu’un me demande une version Minitel, il faudra que je réfléchisse un peu plus longtemps. Idem pour le telex, la télécopie, le télégraphe, le morse, et les pots de yaourt avec leur ficelle.

Tradtelefon-illustration

Si le formulaire n’est pas visible, il est aussi ici, au bout de ce lien : newsletter.

Crédits Photos : Project Runeberg

Classé sous :Smy 2 commentaires

Cataphilie ? Urbex ?

11 mai 20161 commentaire

Après une furtive photo d’entrepôts fin 2014, deux articles Urbex sont apparus coup sur coup cette année sur le blog. Cela mérite quelques explications…

L’urbex, abrégé d’urban exploration, consiste à visiter des lieux abandonnés. Anciens bâtiments, usines, châteaux, maisons, tout est propice à l’exploration urbaine, dès qu’il y a un intérêt architectural, artistique ou historique. Mais ceci ne m’est pas tombé dessus d’un coup, du jour au lendemain.

Cataphilie

Mes premières amours avec les lieux interdits datent du lycée, à la fin des années 1980. J’habitais à l’époque dans le XIVè arrondissement de Paris, au dessus du fameux GRS ou Grand Réseau Sud, constitué des galeries des Vè, VIè, XIVè et XVè arrondissements.

Je suis descendu dans les catacombes, ou plutôt les carrières souterraines de Paris, quasiment un week-end sur deux pendant mes années de seconde et de début de première. C’est équipés de casque, combinaison de travail, rangers et lampe que nous visitions les sous sols, et les lieux mythiques que sont les salles F.F.I., l’ossuaire du Montparnasse, la plage, ou encore le réservoir de Montsouris. Ramper sur les ossements sous le cimetière de Montparnasse est une étrange expérience.

20100613123959-1d54054c-la-2 20100725175612-396d4580-la
20100613123714-c96df599-la 20100613123219-15d82b4f-la
Photos issues du site datacombes

Les accès étaient à l’époque relativement simples, que ce soit par les voies de la Petite Ceinture ou les nombreuses plaques «d’égouts» France Telecom autour de Port Royal. La principale difficulté était d’éviter la police à la sortie au petit matin, mais nous ne risquions pas grand chose tant que nous n’avions pas de bombe de peinture sur nous. Les quelques Skinheads croisés sous terre n’étaient pas non plus vraiment un danger.

Le Graal de tout cataphile était de réussir à obtenir les plans des souterrains, qui ne se transmettaient qu’entre initiées. Les photocopies de photocopies à peine lisibles faisaient notre bonheur.

Les plans de l'époque, retrouvés récemment dans un de mes placards
Les plans de l’époque, retrouvés récemment dans un de mes placards

Urbex

Le plaisir de l’exploration urbaine m’est revenu quelques décennies plus tard, avec une vision plus esthétique que clandestine. La photographie numérique a aussi beaucoup participé à cette redécouverte. A force de photographier les choses étranges que l’on croise lors de ballades, on fini par se dire que l’exploration peut être l’objet même de la promenade. L’urbex, à proprement parler, date pour moi d’il y a seulement trois ou quatre ans, et je me décide enfin en 2016 à publier les photos et raconter mes aventures.

Les expériences sont souvent étonnantes, la surprise provoque l’émerveillement, et l’on ressent de nombreuses émotions lors d’une visite d’un bâtiment abandonné. Le silence surprend toujours.

Une autre dimension de l’urbex concerne l’histoire même des lieux visités, et l’on se retrouve à se documenter avant et après le voyage. À chercher à comprendre ce qui a pu se passer, qui étaient les propriétaires, de quand date l’abandon…

Les fans d’urbex sont comme tous les passionnés, affables et généralement loquaces. Que ce soit virtuellement sur Twitter et les forums, ou dans la vraie vie comme Greg croisé dans le village fantôme de Bodie, Tim rencontré lors d’une séance de dédicaces, et bien d’autres.

La fac de 12h02
La fac de 12h02 en 2016
La station endormie
La station endormie en 2016
Un entrepot détruit en 2014.
L’entrepôt au manège clandestin de 2014 à 2016
Le village fantôme de Bodie, pas tout à fait de l'urbex
La ville fantôme de Bodie en 2015, pas tout à fait de l’urbex

L’urbex est régi par quelques règles à respecter. Il ne faut rien forcer ni casser, laisser l’endroit en l’état, ne rien emporter ou voler, et enfin ne pas communiquer l’emplacement des lieux pour éviter d’attirer les casseurs, pilleurs, voleurs de métaux, etc. Il y a aussi quelques dangers, et il faut être particulièrement attentif à l’état des sols, planchers, escaliers, toitures, évidemment ne jamais partir seul et s’équiper en conséquence, avec au minimum des chaussures de marche, un téléphone, une lampe, de l’eau…

Si vous voulez en savoir plus, je vous recommande le très récent livre de Timothy Hannem et son site Glauqueland, ou encore Urbex Element, Urbex.me, Urbex Session, Forbidden Places… mais il y en a tellement.

Et toutes mes photos sur le thème : Urbex.

Dédicace du livre Urbex par Timothy Hannem
Dédicace du livre Urbex par Timothy Hannem, parce qu’il dessine en plus !

Crédits Photos : © Sébastien Mougey, à l’exception de celles des carrières souterraines qui proviennent de www.datacombes.com

Classé sous :Photographies, Urbex 1 commentaire

Escape Game – «Shutter Island» Victory Escape

7 mai 2016Laisser un commentaire

Une étrange et inconsciente attirance pour les Escape Games sombres nous plonge une nouvelle fois dans un univers médical, pour notre plus grand plaisir ludique.

Nous avons décidé aujourd’hui de nous confronter à l’Escape Game le plus difficile de Victory Escape et ses 25% de réussite. Cette enseigne du quartier de l’opéra est ouverte depuis l’été 2015 et propose six salles sur quatre univers différents, importés et adaptés du célèbre Mindquest de Budapest. Les noms donnés aux aventures font ici référence à des films ou des livres connus, comme dans d’autres sociétés, et cela nous laisse à chaque fois dubitatifs.

shutter-island_5bNous sommes accueillis très chaleureusement par Marion et Margaux, avec qui nous étions déjà en contact et qui nous avaient invités. L’espace est agréable, la pièce d’accueil est divisée en petits salons et une plus grande zone semble prévue pour les groupes importants et les entreprises.

Le briefing est classique, nous obtenons cette fois la réponse à notre éternelle et unique question, non, les objets ne sont pas réutilisables. Nous nous rendrons bientôt compte que ce n’est pas totalement exact, sont-elles fourbes ?

Les cobayes de Shutter Island

Un corps est retrouvé échoué au large de l’ile, il semble que ce soit celui de Léo. Avant de s’infiltrer, il a réussi à nous transmettre un message affirmant que cet hôpital se livre à des expériences interdites. Des preuves existeraient, et nous devons absolument les trouver et les ramener…

Nous partons à quatre enquêteurs vers l’hôpital afin d’accomplir notre mission. Nous ne sommes équipés que de trois lampes frontales, la Game Master considérant que l’un d’entre nous est suffisamment nyctalope pour ne pas en avoir besoin, ou est-ce peut-être simplement pour ralentir notre équipe.

Aucun éclairage n’est présent dans la pièce dans laquelle nous pénétrons, et nous découvrons les décors uniquement à la lueur vacillante de nos lampes. Le lieu semble désaffecté, nous devons être dans l’ancienne aile de l’institution psychiatrique. Les murs sont froids, ternes, gris, le mobilier métallique n’est pas tout récent, et notre recherche désespérée d’un interrupteur semble vaine. L’immersion est forte, et l’absence de lumière y participe grandement. Quelques bruitages viennent glacer encore l’ambiance, mais pas au point de nous faire trembler.

shutter-island_3

Notre première fouille révèle déjà de nombreux objets dont nous ne saisissons pas immédiatement l’usage. A force d’insistance, les éléments se mettent en place, mais nous devons fouiller encore et encore tant cette partie de l’aventure est exigeante. Si les décors paraissent simples, ils offrent de nombreux et subtils recoins et cachettes.

La coopération est très présente, et plusieurs épreuves nécessitent l’action conjointe d’au moins deux joueurs, quand ce n’est de toute l’équipe. Se forcer à garder son calme quand un coéquipier n’arrive pas à saisir un objet est toujours un moment mémorable des Escape Games collaboratifs.

Les énigmes sont très mathématiques, logiques, et s’il n’est pas nécessaire d’être un expert du calcul mental, il ne faut pas être réfractaire aux nombres pour apprécier cette room. Les mécanismes sont originaux, nous ne rencontrons que quelques cadenas et aucune clé. Les épreuves High-Tech sont omniprésentes, ce qui paraît un peu anachronique avec le reste du décor, mais offre de très belles surprises. Nous pourrions peut-être reprocher un manque de liaison entre certaines énigmes, ce qui ralenti parfois la progression.

Sans être très complexe, une énigme à plusieurs niveaux nous bloque une dizaine de minutes, tant il est difficile de ne pas commettre d’erreur à chacune des étapes de sa résolution. L’absence de feuille, bloc, crayon ou ardoise est voulue par Victory Escape, alors que cela pourrait être d’une grande aide dans certaines épreuves.

Les échanges avec la GM se font par des écrans installés dans chaque salle, et placés à des endroits qui ne gâchent pas l’ambiance. L’aide apportée est intelligente, bien dosée, et notre progression est suivie attentivement.

Nous sortons après 53 minutes, libérés de la pression accumulée, nous avons en effet pu craindre plusieurs fois l’échec de notre mission. Les preuves des expériences humaines nous accompagnent, Léo disait donc vrai.

Le debriefing est tout autant agréable que l’accueil, nous pouvons retourner dans les pièces pour poser de nombreuses questions sur les différents objets et «puzzles», et faire part de nos remarques.

Nous avons passé un très bon moment dans Shutter Island et apprécié l’originalité des énigmes et la coopération. Cette salle est réellement difficile et se destine à un public de joueurs confirmés.

Cet article a été initialement publié sur polygamer.com, vous pourrez y retrouver les avis des autres membres de l’équipe.
Plus d’informations sur cette salle sur le site de Victory Escape Game.

shutter-island_2 shutter-island_6b

Retrouvez tous nos articles Escape Games, nos avis et conseils sur Paris, la liste complète des enseignes et salles de Paris/IDF et les taux de réussite.

Crédits Photos : Les photographies de cet article proviennent de Victory Escape

Classé sous :Escape Games Laisser un commentaire

Tous les articles

  • Already Flashed
  • Blog

Articles récents

  • Starter Pack sans I.A. 13 avril 2025
  • Jeu – Fil Rouge 6 avril 2025
  • Already Flashed n° 47 – Interview Bricologiste 25 mars 2025
  • Smy v3.3 16 mars 2025
  • Escape Game – «Mission Galactique» Majestic 1 mars 2025
  • Already Flashed n° 46 – Qu’est-ce qu’on va s’faire chier 15 février 2025
  • Jeu – Cocoon 8 février 2025
  • Already Flashed n° 45 – Interview Hyenek, Fredphan et Cracoucass75 25 janvier 2025
  • Jeu – Solstis 11 janvier 2025
  • Bilan ludique 2024 1 janvier 2025
  • Already Flashed n° 44 – Block Party 28 décembre 2024
  • 2014-2024, dix ans d’Escape Games 22 décembre 2024
  • Urbex imprévus 2 – Les tomates 7 décembre 2024
  • Jeu – Elden Ring Shadow of the Erdtree 30 novembre 2024
  • Already Flashed n° 43 – En direct de Biarritz, Anglet et Bayonne 11 novembre 2024

Commentaires

  • TofLePack dans Starter Pack sans I.A.
  • 021 dans Starter Pack sans I.A.
  • Mr-Lapo dans Starter Pack sans I.A.
  • smy dans Already Flashed n° 46 – Qu’est-ce qu’on va s’faire chier
  • Louis de Funès dans Already Flashed n° 46 – Qu’est-ce qu’on va s’faire chier
  • smy dans Already Flashed n° 44 – Block Party
  • Fabrice dans Street Art – Blub L’Arte sa nuotare
  • Delphine dans Already Flashed n° 44 – Block Party
  • Nanou dans Beurk 4 – Mate de Coca
  • smy dans Visiter l’Agence Spatiale Européenne avec des yeux d’enfants
  • Jgr dans Visiter l’Agence Spatiale Européenne avec des yeux d’enfants
  • Yard56 dans Already Flashed n° 18 – Championnet Carrelages
  • smy dans Already Flashed n° 14 – Interview NewSpotter
  • GaMeur1 dans Already Flashed n° 14 – Interview NewSpotter
  • smy dans Already Flashed n° 18 – Championnet Carrelages
  • fabre dans Already Flashed n° 18 – Championnet Carrelages
  • smy dans Already Flashed n° 38 – Interview Jarm0u
  • Hervé dans Already Flashed n° 38 – Interview Jarm0u
  • smy dans Wikipedia, découverte empirique de la publication
  • Diane Lallement dans Wikipedia, découverte empirique de la publication

Bluesky · Instagram · Mastodon · RSS

  • Bluesky
  • Instagram
  • Mastodon
  • Flux RSS

Newsletter

Une envie subite de vous abonner à la newsletter ?

Recherche

Applications iPhone

smyapps.com

Geocaching

  • Apple
  • Escape Games
  • Geek et High-Tech
  • Geocaching
  • Jeux
  • Microsoft
  • Photographies
  • Pommes
  • Smy
  • Space Invaders
  • Steve Mobil
  • Urbex

Copyright © 2005-2025 · Sébastien Mougey

En poursuivant votre navigation, vous acceptez l’utilisation de cookies.Ok